De retour.. [Cal <3]

Elle était arrivée il y a environ deux heures et elle avait était a ses appartements après avoir était accueillit par le concierge. La jeune et magnifique médecin avait passer plus d'une heure a ranger ses affaires mais aussi à se changer. Oui, la route à était longue et la sueur n'est jamais votre ami. Mais à cette heure, un peu plus de 15 heures, elle devait dire au directeur qu'elle était arriver et ainsi remplir les formalité nécessaire à son embauche. Elle avait revêtu quelques vêtements qui pouvait exactement faire penser à l'uniforme de l'école mais évidement, tout à sa taille. Mini jupe noire, enfin lui arrivant au dessus des genoux, chemisier blanc avec la cravate de la couleur de son péché avec une paire de bas de couleur chair et évidement, des bottes à talons aiguilles qui lui allaient comme un gant.. Enfin comme des bottes. Elle avait traverser l'école de cette manière avec une grande blouse blanche et une petite mallette qui comportait tout des papiers. Bien sur, tout les regards étaient rivés sur elle, ce qui lui donnera un magnifique sourire. Elle se dirigera avec une certaine allure vers le bureau du directeur. Celui ci savait qu'elle devait arriver aujourd'hui. Mais il faut avouée que miss McGuire était assez nerveuse. Six ans qu'ils ne s'étaient pas revu. Aujourd'hui, elle n'avait plus du tout les caractéristique physique qu'il y a six ans. Un corps plus adulte et surtout plus femme. Certes elle a toujours ses cheveux cendrés, toujours un sourire d'ange et des yeux pétillants. Elle avait un cour de rêve, svelte mais pas maigrichon. De longues jambes fines et lisse qui étaient parfaitement mise en valeur par cette petite jupe courte.

Elle se stoppera ensuite devant la porte du bureau. Elle hésita un instant puis toquera. Elle attendit un "entrez" pour tourner la poignet et pousser la porte. Elle attendra quelque seconde avant de faire un pas dans le bureau et de refermer la porte. La jeune femme ne dira pas un mot durant tout ce temps avant de se stopper. Elle posera sa mallette sur le sol, et posera une main sur sa hanche. Elle s'éclaircira la voix dans un raclement de gorge puis doucement, elle laissera sa jolie voix raisonner dans la pièce.

Bonjour... Professeur...

La jeune femme, car oui maintenant c'était plus une femme qu'une gamine, attendra toute réponse venant de la part de Caliban. Son cœur battait à cent à l'heure à l'idée d'être devant lui. Les sentiments qu'elle avait eu pour lui n'étaient jamais véritablement partit. Ils s'étaient simplement cachés dans un coin de son cœur. Mais finis de parler de ça. Notre jolie et belle médecin reprit la parole après quelques minutes de long silence.

Je suis contente de vous revoir

La jeune femme posera ses prunelles sur les lieux. Rien n'avait changer à vrai dire. Sauf Caliban qui était encore plus beau qu'avant. Certes, il était dejà sexy mais la, c'est une bombe atomique pour notre petite, non enfin, notre grande médecin ! Elle fera quelques pas de plus en reposant ses prunelles sur le beau jeune, oui oui jeune, homme.

Le début de la journée avait été relativement chaotique, comme toutes les journées à l'Ecole du Flux, après tout. Après avoir remis en place quelques détails d'une arme à envoyer à certains de ses collaborateurs, mais qu'il jugeait encore trop instable pour cesser de travailler dessus, il s'était rendu un peu en retard à son bureau. Résultat, sa blouse avait été jetée sur son porte-manteau, avait une telle violence qu'elle n'y était pas restée bien longtemps avant de s'écraser lamentablement au sol. L'homme demeurait donc avec le reste de sa tenue de laboratoire. Ce jour-là, c'étaient un t-shirt gris à manches courtes - il faisait encore suffisamment chaud - et un jean noir. Les deux avaient un vague air calciné. Il avait aussi gardé ses gants de cuirs, et l'un d'entre eux serrait avec une volonté toute particulière un crayon qui n'avait rien demandé à la vie pour finir entre les doigts d'un taré.

Caliban devait être en pleine recherche frénétique, quand quelqu'un toqua à la porte de son bureau. Cela lui arrivait souvent, certes, puisque son existence elle-même se résumait à la création. Cependant, généralement, il s'arrangeait pour se retrouver dans son laboratoire, quand il créait. Il avait ses outils à disposition, et plus de papiers sur lesquels noter ses conclusions. Les doigts gantés - à l'origine d'un brun clair - du Directeur étaient presque aussi noircis de chiffres et de lettres que les papiers qui traînaient devant lui, avec un vague air de cadavres désespérés :

-Entrez.

Il avait cessé de mordiller son crayon pour répondre. Puis il reprit sa fougue créatrice pour noter la suite de sa formule. S'il appliquait cette charge dans son expérience, peut-être que l'effet serait plus immédiat. Mais plus dangereux. Et il n'allait pas non plus causer d'ennuis à ses alliés. Il releva le visage au raclement de voix, ses lunettes violettes reflétant la lumière de l'après-midi au coin de son oeil. Il faisait beau, et les neiges éternelles du Val renvoyaient une lumière blanche et pure dans son dos.

L'homme demeura un moment immobile, le crayon suspendu au-dessus de la malheureuse feuille. Il en perdit une formule qui lui trottait dans la tête. L'apparition qui venait d'entrer dans cette pièce, il l'avait bien sûr provoquée. Il savait que Violette était très douée, que son pouvoir était utile pour son métier. Il avait appris à quel point elle avait réussi ses études de médecine, et en gardait une forme de fierté, même s'il avait le sentiment qu'il aurait pu la pousser plus haut encore dans la réussite. Ce n'était pas parfait, certes, il aurait pu y avoir mieux, mais elle avait réussi brillamment, et avait fait ses preuves en tant que médecin. Alors, la place libre à l'Ecole, il n'y avait rien de mieux que de proposer à Violette ce rôle. Bien sûr, ils avaient eu des rapports assez particuliers, mais Caliban n'était pas un homme très net sur certains sujets, et il n'avait jamais su que la demoiselle avait des sentiments pour lui. Tout ce qu'il savait, c'était qu'il lui faisait confiance.

Il avait oublié que certaines tonalités de cette voix - à moins que ce ne soit une idée donnée par ce lien musical qui les avait liés - lui plaisaient sincèrement. Elle avait une manière de prononcer le mot "Professeur" qui aurait pu en faire frémir plus d'un. A moins que ce ne soit cette façon dont elle portait l'uniforme et la blouse... ou mieux encore, ce corps qui avait su prendre d'agréables années. Des années qui avaient probablement manqué quand elle était encore élève.

Caliban acquiesça d'un signe de tête, quand elle lui dit qu'elle était heureuse de le voir. Et bien, pour tout avouer, il était agréablement surpris de la vision qu'elle lui offrait. D'un geste de la main, il l'invita à prendre place dans le fauteuil qui lui faisait face. Cela faisait environ dix ans, maintenant, mais cela avait commencé ainsi. Elle avait eu un papier à signer. Mais, à cet instant, il était en train de jouer, pas en train de travailler une de ses expériences.

-Je... suis heureux de te revoir, aussi, Violette.

Il rangea rapidement ses notes, enleva ses gants pour les poser à côté de son clavier d'ordinateur. Il ne pensait pas qu'elle viendrait aussi rapidement à l'Ecole. Il l'attendait pour la fin de la journée, croyait qu'elle prendrait ses marques, avant de venir. Enfin, il fallait signer le contrat. Ensuite elle aurait tout son temps, certes. Il se leva.

-Je m'excuse, je ne suis pas bien présentable, mais je n'arrête pas de courir, aujourd'hui.

Il alla chercher dans son armoire un papier, qu'il lit en vitesse, le parcourant de son unique oeil vif. Bien, parfait. C'était ce qu'il fallait. Il avait demandé à sa fille de le préparer, et, à première vue, elle n'avait rien omis. Plus cela allait, plus elle devenait douée pour gérer cette Ecole, cette enfant.

-Voilà ton contrat... Euh... Peut-être que tu préfèrerais que je te vouvoie, maintenant. Je te vois toujours un peu comme mon élève, mais j'avoue que tu as bien grandi, désormais...

Il aurait pu prononcer ses derniers mots sans observer le coin des lèvres de la jeune femme, aussi. Bref. Il posa le papier en face de Violette, et lui tendit un stylo.

La jeune femme ne laissera pas son sourire s'évanouir. Au contraire, en regardant Caliban, son sourire n'était que plus magnifique. Mais son sourire s'agrandira un peu plus lorsqu'il lui avoue qu'il était content, également, de la revoir. Elle se doutait tout de même que le directeur soit ravi de la revoir car, il ne l'aurait surement pas appeler pour être le nouveau médecin scolaire, quoi que Caliban était bien étrange parfois. Les prunelles claires de la jeune femme suivra chaque mouvement de l'homme présent devant elle. Il était partit chercher son contrat à première vue. La jeune femme était à la fois stressée mais également impatiente de signer cela. Alors qu'il l'invite gentillement à s'assoir, la demoiselle ne se fera pas prier et viendra délicatement poser son fessier sur le fauteuil. Suite à cela, elle croisera la jambe droite sur la gauche. Ceci mettant à la fois sa beauté en valeur mais également la finesse et la beauté de ses jambes parfaite malgré le fait qu'on voit la finission en dentelle d'un de ses bas. Et encore ! cela ne fait que la rendre plus sexy. Lorsqu'il parlera de vouvoiement, Violette ne pourra s'empêcher de laisser une petite grimace déformer son doux visage. Alors, elle répondra de sa douce voix.

Vous pouvez me tutoyer.. je serais, après tout, toujours votre élève.

La jeune femme insistera bien sur le "votre" . Car malgré tout, Violette restera à jamais l'élève de Caliban, et même si aujourd'hui elle a 24 ans et qu'elle est médecin. cela ne changea rien pour la jeune femme. Puis, elle prit enfin le crayon tendu par monsieur le Directeur. Elle se penchera un peu pour lire rapidement le contrat et y déposer un sublime autographe. Lorsqu'elle se baisse, Caliban aura une vue de plus magnifique sur le décolté et la poitrine bien changée de Violette. Oui, il y a de cela bien longtemps, elle était plate, enfin, disons que ses formes étaient de loin très attirante.. Mais aujourd'hui, c'est tout le contraire. Elle était presque parfaite. Une fois la signature faite, elle redonnera de sa main légèrement froide et douce le papier ainsi que le stylo qu'elle venait d'utiliser.

C'est assez étrange de revenir ici arès tout ce temps...

Oui, plus que six ans sans venir, sans posé un pied ici. La seule chose qui lui laisser un lien avec le Val était son pouvoir, son caractère aussi et les sentiments qu'elle avait, sans oublier les souvenirs ! Bref ! Elle se levera croyant que tout etait finis alors qu'elle fixera le professeur. Elle se lévera, souriante, avancant de quelques pas avant de se baisser. Penchant en avant pour ramasser sa malette. Evidement, pour bien faire, elle est dos à lui. Puis avec un sourire taquin et amusé, elle dira

Je me suis un peu améliorer en piano... Enfin... Vraiment qu'un peu... Je n'ai pas eu la chance d'avoir toujours le même professeur..

Hoo la vilaine. Remettant un peu sur le tapis les actes passés. Elle sourira à son très beau professeur avant de se remettre face à lui. Elle poursuivra en disant..

Si vous me chercher... Je serai à mes appartements..

Tout ce qu'elle espèrait, c'est qu'il la retienne, même pour discuter de chose qu'y lui est totalement égale. Mais être dans la même pièce que lui, lui donner le sourire et lui rapeller des moments divins passés en sa compagnie. On ne donnera évidement aucun détails.

Etre l'Envie n'était pas toujours simple à vivre, même si, parfois, Caliban avait des sursauts de conscience qui lui permettaient de sentir quand il passait d'une pulsion à une autre. Peu de temps auparavant, son unique désir de devenir le plus grand créateur que le monde ait pu posséder le motivait. En quelques instants, il avait repoussé quelques limites de la physique, comme il le faisait à chaque fois. Des pays se seraient battus pour un chercheur pareil dans leurs laboratoires de développement d'armements. Et puis son ancienne élève était arrivée dans la pièce. Il fallait avouer qu'elle avait parfaitement assimilé ses cours de séduction. Quelques gestes, simples au premier abord, mais au moment parfait pour le faire réagir, et son regard passait d'une courbe à l'autre.

Les cuisses de la jeune femme, puis sa poitrine offerte à l’œil le plus intéressé, Violette avait probablement choisi sa tenue pour cette rencontre, et parce qu'elle saurait qu'il réagirait en conséquence. Du moins, il s'en doutait vaguement. Même s'il n'avait pas partagé les sentiments de la demoiselle, il se souvenait parfaitement de leurs cours particuliers, et de ce qu'ils étaient devenus. Il y avait des choses que l'on n'oubliait pas, et même s'il avait eu des échanges sulfureux avec bien des élèves, il devait bien s'avouer qu'avec elle, il y avait une attirance autre que physique. Il y avait des passions qui les liaient, il y avait des choses qu'elle voulait apprendre de lui... et des choses qu'il voulait prendre d'elle.

Il récupéra le stylo, le rangea, gardant un léger sourire au coin de ses lèvres, à l'autorisation de la tutoyer. Très bien. Aucun remord ne le surprit quand il s'accorda le droit d'observer le postérieur de la jeune femme. Violette était devenue une curiosité. Il avait comme l'impression qu'il devait savoir en quoi elle avait changé, en six ans, et si son sentiment était justifié. Son sentiment ? ... oui, celui qui lui disait qu'elle avait très bien vieilli.

Elle lui parla musique, et, entre eux, c'était comme parler de sexe. Elle aurait très bien pu lui dire qu'elle n'avait pas eu beaucoup d'autres relations que lui, il aurait compris la même chose. Plus jeune, il n'aurait jamais pensé que la musique puisse lui faire un tel effet. Enfin, vraiment plus jeune, quand il était encore adolescent et qu'il se construisait contre la musique classique, et contre son père, et qu'elle était une bride à son savoir. Désormais, c'était un passe-temps... ou un prétexte pour passer des instants avec son élève.

-Non, reste un peu. Tu auras tout le temps de t'installer plus tard.

L'homme se leva de nouveau, pour s'avancer près de la jeune femme. Son regard se posa dans les cendres de la demoiselle. Il devait ajouter quelque chose, non ? Un prétexte. Leur prétexte.

-Tu dis que tu as fait des progrès en musique, viens me les montrer. Et puis, j'aimerais savoir un peu ce qu'il t'est arrivé durant tout ce temps... pendant ces six dernières années...

Caliban alla ouvrir la porte de son salon. Le piano trônait dans un coin de la pièce, comme un souvenir, ou comme une promesse. Sur le banc, en face de lui, il y avait de la place pour deux. Et, quelques années auparavant, il s'était installé de nombreuses fois à côté d'elle, pour observer ses mains courir sur les touches, ou pour les partitions à quatre mains.

-Ah, et pour ta tenue, depuis l'arrivée de la nouvelle prof de la Luxure, j'ai arrêté de m'énerver contre les adultes pour qu'ils portent aussi l'uniforme... donc comme elle se balade en petite tenue dans les couloirs, je juge que tu peux faire comme tu veux, toi aussi.

Le Directeur était désormais debout à côté du piano, le regard fixé sur Violette, et ses courbes. Surtout ses courbes.

Quand Caliban la regardait, Violette le savait très bien. Elle ressentait ses regards qui parcoures son corps dans les moindres détails et il fallait dire qu'elle savait très faire qu'on la regarde après six ans de cours de séduction. Voilà encore un point montrait sa réussite dans ses études. Même un cours qui aurait pu être banale était devenu un art. Mais il faut dire que chez Violette, tout était calculé. Ses gestes gracieux et sensuels, ses mots et sa voix douce.. absolument tout. Elle était prête à partir quand il la retiendra. Ouf, c'est ce qu'elle avait espéré. Il avait raison, elle aurait bien le temps plus tard pour s'installer et mettre au point tout ce qu'elle doit faire. Alors elle lâchera sa mallette et se redressera à nouveau en regardant Caliban. Ses prunelles plongeant avec intensité dans celles de son nouveau patron. Un sourire aux lèvres, alors qu'elle répondra d'un simple signe de la tête suivit de son sourire doux et tendre. rendant son visage plus rayonnant que d'habitude. Mais son sourire changea un peu quand il parla de montrer son évolution au piano. Elle savait très bien comment interpréter tout ça. La musique était le moyen qui les avait rapprocher, le moyen qui a fait qu'elle était tombé sous son charme. C'était aussi grâce à la musique, ou à cause de la musique, que Caliban et Violette ont eu une relation plus que professionnelle. Mais ce qui faisait qu'elle savait de quoi il parlait, c'était quand il demanda de savoir ce qu'il lui était arriver durant ses dernières années. La jeune femme le suivra, Caliban était déjà parti vers le petit salon ou était le piano. La jeune femme approchera alors en souriant puis, après un signe de tête elle ira s'assoir gracieusement sur le petit banc, enfin pas si petit. A cela, la jupette de la demoiselle se releva un peu, dévoilant ses cuisses encore plus belle. Elle laissera pour le moment ses doigts frôlaient les touches, comme elle le faisait si souvent depuis si longtemps. Elle ne fit que cela avec une main avant de laisser la seconde faire la même chose. Elle ferma les yeux, restant bien droite, histoire de se souvenir des touches, de visualiser le piano dans sa tête et les mouvements de ses doigts. Un sourire sur le coins de ses lèvres alors qu'elle laissera quelques doigts frapper avec douceur les touches de l'instrument. Des notes qui feront immédiatement pensé, à Caliban a une des musiques qu'il lui avait apprise. Doucement, elle se laissera prendre par le rythme de la mélodie et jouer le début de la partition dont elle se souvenait. De la ou était le professeur, il pouvait avoir une vu des plus intéressantes sur son décolté et sa poitrine. Elle était assise et lui debout. Rien de mieux pour visualisé une poitrine parait-il, surtout avec le décolté qu'elle possède grâce à son chemisier. XD. Puis doucement, elle se stoppera. ouvrant les yeux et regardant le professeur avec un doux et tendre sourire. Puis elle dira..

Pas génial je vous l'avoue...

Elle lui sourira doucement avant de regarder le piano qu'elle caressera du bout des doigts. De manière sensuelle évidement. La jeune femme reprendra doucement la mélodie sans fermer les yeux cette fois. Elle fixera les touches qu'elle frappe avec douceur. Puis elle reposera ses prunelles sur le professeur qu'elle invitera à venir la rejoindre au piano d'un sourire et d'un regard. Mais également d'un signe de tête. Mais elle se souviendra de que qu'il avait dit. la prof de luxure se balade à moitié nue ? Super. Elle ne laissera pourtant aucune émotions se voir à se sujet. Mais en ce qui concerne la tenue, Violette n'allait pas suivre le protocole, mais elle aime portait l'uniforme qu'elle avait il y a encore six ans de cela. Elle le trouver sexy et il lui allait parfaitement bien. De plus, elle aimait les regards qu'on lui porte lorsqu'elle travers l'école pour rejoindre ses appartements comme lorsqu'elle est arriver il y a de cela une heure à peine. Elle avait toujours adorait qu'on la regarde mais elle aimer jouer les mystérieuse en ce qui concerne son corps.. Laisser les hommes le découvrir peu à peu, par petite touche. Elle se sentait ainsi un peu plus désiré que d'habitude. Bref, revenons aux actes de notre belle médecin. La jeune femme arrêtera de pensé un peu et dira.

J'adore l'uniforme..

Ouai en prime, tu auras toujours l'impression d'être avec ton élève XD

Caliban ferma un instant les yeux, en reconnaissant la musique, cessant un instant de profiter d'une position qu'il avait lui-même choisie. Il fallait avouer que, bon, il n'était pas né de la dernière pluie, et il savait parfaitement où se placer pour pouvoir observer à son aise son ancienne élève. Il était vrai, d'ailleurs, qu'elle avait fait quelques progrès en musique. Pas autant que durant les années où elle avait étudié ici, mais bon, entre ses études de médecine et son métier, la demoiselle n'avait pas forcément eu beaucoup de temps. Il ne lui en voulait pas, au contraire... il avait, en quelque sorte, le droit d'être le seul. Et c'était très important pour lui. Tant qu'il ne trouvait pas rival, il pouvait demeurer calme... jusqu'à ce que la situation le pousse à se battre contre lui-même, bien sûr.

Il rouvrit les yeux quand elle termina de jouer, lui sourit doucement, avec un air que certains trouveraient malsain, ou sadique, mais un air qui restait presque inchangé sur les lèvres du Directeur. Il glissa ses doigts sur le piano noir, les yeux mi-clos, puis murmura :

-Si, je sens tes progrès. Bon, il y a encore quelques petits trucs à revoir.

Bien sûr, il n'allait pas non plus lui dire que tout était parfait. D'une part parce qu'il ne possédait pas ce mot dans son vocabulaire, d'autre part parce qu'il ne désirait pas la voir partir, sans lui. Il prit place à côté d'elle, lui, grand, immense, même, mais jamais assez pour lui-même. Caliban Leviaz cherchait toujours à avoir plus. Sa main frôla celle de Violette, sur le clavier blanc et noir, et il fronça quelque peu les sourcils, pensif.

Elle parla de l'uniforme, lui arrachant un sourire amusé. Et bien, c'était rare que les gens lui fassent des réflexions positives sur ces tenues. Pourtant, il savait très bien que s'il laissait tous les élèves faire ce qu'ils voulaient, il aurait du beau n'importe quoi. Et la médecin savait aussi très bien deviner les arrières-pensée du Directeur. Il y avait quelque chose de charismatique, de sexy, dans des tenues comme celle-ci. Surtout avec elle, maintenant qu'elle avait des formes plutôt intéressantes. Le décolleté appelait au regard, la jupe à ce qu'il approche sa main.

-Moi aussi. Mais ce n'est pas l'avis de tout le monde ici. Même si les professeurs ont changé depuis ton départ, il y a toujours des esprits de contradiction un peu partout... Je ne sais pas si tu te souviens de ma fille, Nix, la petite qui traînait dans les couloirs et qui cherchait à voir tout ce que faisaient les élèves... Enfin, je te laisse imaginer à quel point cela l'énerve.

Il la fixa. Elle avait en effet des airs d'élève, dans une telle tenue. Il n'y avait que les années qui avaient passé, pour la rendre plus charmante. Lui ne changeait guère. En réalité, il avait pris un coup de vieux aux environs de ses vingt ans, et depuis, les années qui s'ajoutaient à son visage ne le rendaient que plus pensif, et charismatique. Bien sûr il ne le savait pas, bien sûr, il pensait tout le contraire et aurait aimé arrêter le temps.

Il se baissa sur le côté, pour retrouver un panier où se trouvaient, bien rangées, des revues pleines de partitions. Rapidement, semblant avoir attendu ce moment, il choisit un morceau à quatre mains.

-Tiens, j'ai gardé ça pour ton retour. Tu es sensiblement la seule à pouvoir jouer cela avec moi...

Il posa son regard sur la demoiselle, cherchant à savoir si elle accepterait une telle proposition. Ses doigts fins, à lui, épousèrent à la perfection les touches du clavier. Il était né pour la musique, après tout. Il était né, et il avait grandi au milieu des partitions. Seulement, ce que ses parents n'avaient pas prévu, c'était qu'ils mettraient au monde non pas un prodige du piano, mais un génie. Un génie qui aurait une soif étrange, un besoin de tout savoir, et même de dépasser les connaissances des autres.

Alors le piano, bien sûr, il savait en jouer. Il avait fait partie, avant de rencontrer celle qui était la mère de Nix, d'un orchestre réputé. Le Directeur glissa sa main la plus proche de Violette sur le poignet de la demoiselle.

-... tu veux bien essayer ?

La jeune femme regarda son professeur alors qu'il parla de ses progrès en piano. Violette savait très bien qu'elle n'avait pas si progresser que ça. Tout d'abord car elle n'a pas pu souvent pratiquer (:p) mais aussi car elle ne se souvient plus vraiment de la partition de cette mélodie sur le bout des doigts. Mais elle sourira doucement tout de même. Il prendra place à ses cotés par la suite, un doux sourire venant rendre plus doux ce tendre visage. Ses doigts frôlèrent les siens, un frisson qui parcourt le corps de la demoiselle alors qu'elle le fixa de ses beaux yeux clairs. Lâchant d'une douce voix cette petite phrase plein d'espoir et d'admiration.

Je suis sûre que vous pourrez... m'aider... professeur...

Puis il reviendra sur les uniformes. il parla de Nix et ce qu'elle pensait de ca. Violette comprenait plutôt bien ce que la demoiselle devait se dire vis-à-vis des professeurs mais bon. D'aussi loin qu'elle se souvienne, Nix avait toujours était comme ça. A faire que toutes les règles soient respecter... Enfin, si elle ne se trompe pas de fille... Faut dire que Violette ne la connait pas plus que ça.. heureusement.. Car elle se demande bien comment aurait réagit Nix en apprenant que ce qui sert de médecin maintenant avait partagé le lit de son père pendant deux ans et demi.. La demoiselle ne fera que lui a dresser un signe de tête. Que dire de plus ? Tout était déjà dis sur ce sujet. Mais elle n'eut pas vraiment de temps de dire quoi que ce soit quand Caliban se pencha pour attraper quelque chose. Elle reconnut rapidement qu'il s'agissait d'une partition et la demoiselle sourira. Elle sourira un peu plus en lisant plus attentivement et en voyant que c'était une partition à quatre mains. Elle allait dire oui, quand elle sentit la main de Caliban glisser sur son poignet. Sur le moment elle ne put rien dire mais un doux sourire arrivera à nouveau à ses lèvres finement rosées. Pour simple réponse, de la main gauche, vu que la droite et encore sous la main du directeur, elle laissera ses doigts frapper avec douceur sur les touches du piano. Elle n'avait lu que la première ligne de la partition et se souvenait un peu des notes. Elle plongea ses prunelles dans celles de son interlocuteur alors qu'elle ne dira rien. laissant un long silence regnait dans le petit salon de Caliban. Elle se rapprocha de lui sans vraiment s'en rendre compte avant de dire d'une petite voix.. Approchant ses lèvres lentement par la même occasion

Avec.. plaisir...

Un sourire alors que doucement elle détournera les yeux. Elle aurait pu le regarder ainsi des heures mais elle aurait finit par craquer et par poser ses lèvres sur les siennes. Elle ne savait pas ce qu'il aurait fait aujourd'hui.. Même s'il y a six ans, il n'aurait pas quitté ses lèvres. Elle posera ses yeux sur la partition présente devant elle en souriant. Elle sentait, dans sa poitrine, son cœur battre comme un fou alors que des sensations, des sentiments qu'elle connait très bien refaisaient surface dans son cœur et dans son corps. Violette laissera sa main droite sous celle de Caliban alors que l'autre est simplement entre de faire quelques notes avant de stopper. Elle n'osa même plus regarder son ancien professeur mais nouveau patron. Pourquoi ? Ce n'était pas dans ses habitudes mais bon... Elle a tout de même faillit l'embrasser, c'est pas rien ! Mais cela lui avait tellement manqué..

Violette McGuire était, il y avait quelques années, une excellente élève de la Luxure. Caliban n'avait pas à en douter, et il la sentait presque vibrer à côté de lui. En souvenir de ces années passées, qui ne la laissaient pas si indifférente, visiblement. Les silences, les phrases suspendues qu'ils se partageaient, étaient plus brûlants que leurs paroles. Et, sensible à la passion qui naissait au fond de la jeune femme, son Envie se réveillait.

Le Léviathan enfoui au sein du coeur de cet homme était très simple à secouer. Un regard, un geste, un mot, et le démon prenait possession d'un homme qui, à la base, n'avait rien de plus particulier que son génie. Et là, il devenait unique, puissant, et dangereux. Là, Violette, sans le savoir, perdue dans ce plaisir qu'elle commençait à peine à ressentir, attirait le Léviathan. Là, de son oeil unique et impérieux, il la fixait. La main droite de la jeune femme obtint une légère caresse, autant pour tenter de réveiller la passion de son élève, que par un instinct plutôt masochiste. Plus elle appréciait ses gestes, plus il souffrait de ne pas ressentir ce plaisir, plus il enviait... et fatalement, plus il franchirait la distance entre eux.

D'un mot, elle souligna le plaisir qu'elle ressentait. D'un mot, elle souligna ce qu'il désirait. Sa main gauche s'attarda un court instant sur la cuisse de la jeune femme, geste trahissant ce qui noircissait à cet instant précis l'âme du Directeur, puis il alla épouser de ses doigts les notes du piano. Les yeux mi-clos derrière ses lunettes aux verres teintés, suivant à peine la partition qu'il avait plus laissée pour Violette que pour lui-même, il commença à jouer. Le clavier, il ne l'oubliait pas. C'était son enfance, qui lui revenait à chaque fois. Ces souvenirs détestables de la musique qui avait emprisonné son génie lui revenaient, et, toujours, dans cet esprit presque masochiste, Caliban prenait soin de se les répéter. Sa virtuosité lui venait de la haine pour son père, de ce que ce-dernier avait fait de lui, attisant, sans le savoir, l'âme destructrice de ce qui était encore un enfant. Sans la musique classique, le Léviathan n'aurait jamais existé.

Et là, il faisait presque trembler les longs doigts fins de l'homme. Puissant, il devenait le Désir, celui d'être un professeur parfait... sur tous les enseignements. Et surtout sur celui qui faisait à cet instant précis vibrer la jeune femme à ses côtés. Agiles, les mains du Directeur ne s'arrêtaient presque jamais, décidées à arriver à la fin de cette partition. A la fin de cette tension qu'il s'offrait dignement. Il avait l'air d'être, presque, en état de transe, la respiration saccadée. Il était toujours comme cela, au piano, depuis qu'il était tout petit. La seule chose qui avait changée, entre cet homme et le petit garçon roux, c'était qu'il était devenu borgne, et que ses cheveux étaient désormais gris. De toutes manières, personne ici ne l'avait jamais connu roux, il avait presque l'air de n'avoir jamais changé.

La dernière note résonna dans la pièce, suivie d'un silence particulier. Il guettait la jeune femme à ses côtés, il guettait son élève, ses réactions. Vu la proximité de leurs corps, il devait avoir enregistré le moindre frémissement, oui, le moindre signe de plaisir. Les lèvres plissées, il tourna son visage vers son médecin, attentif, et prêt à l'écouter...

Le cœur de notre médecin battait rapidement, et chaque geste que faisait Caliban la faisaient frissonner. Ses notes, ses mots, tout en lui, lui donnaient des frissons, du plaisir. Pourquoi une telle sensation alors qu'ils se touchent à peine ? Les sentiments qu'elle avait pour lui surement. Mais lorsqu'il commença a caresser sa main, la jeune femme fut frapper par un frisson terrible. Vous savez le genre de frisson qui fait de votre corps entier une source de plaisir. Un frisson, une caresse qui fit perdre la tête à notre demoiselle. Certes, elle continuait de jouer de sa main libre alors qu'elle posa ses prunelles sur Caliban. Elle eut sur les lèvres un tendre sourire, un sourire doux prêt à faire fondre n'importe qu'elle homme. Mais tout changea lorsqu'elle sentit la main du professeur sur sa cuisse. La, elle ne peut résister, elle n'oubliera jamais ses caresses, ses mots susurrés à son oreille, ses baisers chauds qui parcourait son corps.. Non une telle sensation ne peut être oublié, même après tant d'année. Mais ce qu'elle désira le plus aujourd'hui, suite à se geste, c'était de l'embrasser. Elle résiste malgré tout, se mordant la langue pour reprendre ses esprits alors qu'en vérité, cela ne faisait que battre son cœur un peu plus vite.

Sans vraiment se rendre compte de ses actes, la jeune et magnifique médecin c'était rapprocher un peu plus de son ancien professeur. Ancien ? Pas vraiment car malgré tout, il restera à tout jamais son professeur. Elle le regardera jouer, toute admirative devant lui. Elle ne pas quoi dire, laissant sa main et ses doigts faire quelques notes avant de s'arrêter. Se n'était pourtant pas la fin mais à vrai dire, la musique raisonnait dans sa tête tel une force invisible qui la poussait dans ses bras. Elle ne dira pas un mot, venant inconsciemment se coller à lui. Son sourire incrustait sur ses lèvres alors qu'elle ne peut s'empêcher, lorsqu'il tourna la tête vers elle, de venir poser ses lèvres sur les siennes.. Fermant les yeux à cet instant avant de comprendre se qu'elle fait. Elle retirera ses lèvres brusquement en virant au rouge alors qu'elle laissera un petit "désolée" alors qu'elle se reculera un peu. Gênée ? C'était bien la première fois.. Non en faite, cela faisait pensé à la première fois où elle l'a embrassée. Comme il y a six ans, elle avait réagit de la même façon, avant comme après le baiser.

Elle fixera pourtant son professeur d'un regard tendre et qui pourtant, montré très bien comme elle avait envie de lui. Non pas forcement envie de finir au lit, mais simplement d'être là a ses cotés, de jouer avec lui, de lui parler.. De l'admirer. La demoiselle soupira ensuite, marmonnant pour elle un " Ho et puis merde" avant de revenir l'embrasser. Cette fois, ses lèvres collaient aux siennes ne s'éloigneront pas sauf si Caliban la repousse. Ce qu'elle n'espère pas du tout et qu'elle croit peu probable. Mais comment faire pour pouvoir résister à Caliban ? Elle avait eu beau essayer mille et une solutions, mais aucune ne marcher. Durant ses deux ans et demi de relation, elle n'avait jamais pu résister à son professeur. Aujourd'hui, c'était la même chose, sauf qu'elle n'avait plus 16 ou 17 ans, non elle en avait 6 voire 7 de plus. Et pourtant, elle se comporte exactement comme en ce temps là ! Il faut dire que face à Cal', elle se sentira toujours comme une élève.

Ses doigts encore proches du clavier, Caliban, tourné vers la jeune femme, se laissa surprendre. Mais était-ce réellement une surprise ? Ne s'y attendaient-ils pas, au fond ? Probablement que si, du moins, du côté de Caliban. N'allez pas comprendre qu'il savait qu'elle allait succomber à son charme, non. Il jugeait qu'il n'avait aucun charme. Mais il y avait des choses qui ne trompaient pas, dans l'air. Il connaissait suffisamment les hommes pour savoir quand l'attirance agissait entre deux personnes... ou plus exactement, il connaissait suffisamment le désir et l'attirance pour les sentir dès qu'ils venaient à lui.

Bizarrement, ce baiser calma un peu les ardeurs du Directeur. pas en mal, bien sûr, mieux valait que l'Envie demeure silencieuse. Avec un sourire amusé, il accueillit le pardon, se souvenant effectivement d'une situation qui ressemblait beaucoup à celle-là, quelques années plus tôt. Violette avait quelque chose de tendre, dans ses passions, contrairement à d'autres membres de la Luxure qui brûlaient presque visiblement. Elle, elle profitait avec une douceur des plus remarquables... mais elle ne s'amusait pas moins que les autres.

Et puis, les autres paroles de la jeune femme accentuèrent son sourire amusé. Elle l'embrassa de nouveau, plus longuement cette fois-ci, et avec un calme qui lui ressemblait à peine, il y répondit, les paupières mi-closes. Sa main droite erra le long d'une mèche de la demoiselle, avant qu'il ne cesse ce baiser, toujours avec son sourire étrange.

-Je vois que rien n'a changé.

En effet, rien n'avait changé entre eux. Même ce silence de la part de Violette n'avait pas su briser ce lien. Ceci dit, durant ce silence, il avait su suivre son évolution, et ses faits, dans le reste du monde. on n'échappait pas réellement à Caliban Leviaz, après ses études, c'était un désir vain... si on le désirait, bien sûr. On aurait pu dire qu'il était un bon Directeur, qu'il prenait soin des gens qui avaient étudié chez lui et s'inquiétait de ce qu'ils devenaient, mais ce n'était pas toujours le cas. Souvent, bien souvent, c'était plus l'inquiétude d'un créateur pour ses créatures, un besoin de savoir ce que faisaient ses cobayes. Avec Violette, il y avait quelque chose de plus... le fait qu'ils aient pu avoir une relation, en quelque sorte, l'un avec l'autre.

-... Tant mieux. Je préfère ainsi.

Un nouveau sourire. Oh, bon, soyons honnêtes : les sourires de Caliban avaient quelque chose de malsain. Sauf avec sa femme et avec sa fille... bon, rectification : sauf avec sa fille, où il avait l'air simplement d'un père avec son enfant. Ici, bon, même s'il n'avait pas un regard extrêmement sadique, il ne sortait totalement pas de ses airs habituels. Et puis, après tout, elle l'avait probablement toujours connu ainsi.

Il se leva, fit quelques pas dans la pièce, pour observer le soleil qui se reflétait sur les neiges éternelles près du Val. Il n'avait pas choisi cet endroit reculé sur un coup de tête. Déjà, pour venir chercher ses élèves jusqu'ici, il fallait le vouloir. Pour quitter les lieux sans utiliser l'hélicoptère, aussi. Et puis il y avait ce calme. Un calme presque constant, un silence particulier, les bruits étouffés par la neige, qui prenait soin d'entraîner les gens dans une relative paix. Il savait très bien que s'ils avaient été au bord de la mer, les élèves auraient été insoutenables.

-J'ai suivi un peu ce que tu as fait durant ces dernières années. Tes études que tu as brillamment réussi, tout ça...

Où voulait-il en venir ?

Violette ne savait plus trop ou se mettre et pourtant, elle était ravie. Elle l'avait embrasser et elle se rappelle de tout maintenant. Le gout de ses lèvres, ses caresses, son odeur et sa voix qui lui murmurait des doux mots au creux de son oreille. Mais elle était rouge encore une fois, comme au premier jours ou elle l'avait embrassé. Rien n'avait changé, il avait raison. Pour ce qui est de Caliban, de ses sentiments pour lui, de son désir et de l'admiration qu'elle lui porte, rien n'avait changer. Violette posera ses prunelles sur son ancien professeur en lui a dressant un sourire. Malgré tout, Violette souriait toujorus et tout le temps, quoi qu'il arrive. C'était ça d'être de la famille McGuire. Positif et souriant, même si son frère échappe souvent à la règle. Alors comme ça, il préféré que rien n'ait changé ? Violette était un peu surprise mais ne dira rien pour autant. Pourquoi dire quelque chose après tout, elle était très contente ainsi.

Il se leva, notre chère médecin ne le quitta pas des yeux pour autant. Elle l'admirait, ses yeux scintillaient par de petites étoiles invisibles qui ressemble plus aux reflets de la lumière qu'autre chose. Mais ce qui la surprit plus qu'autre chose, était le fait qu'il avait suivit son parcourt professionnel.. Dans un sens, elle comprit pourquoi il avait choisit, elle et pas une autre, pour le poste de médecin scolaire. Il lui avait presque tout enseigné, il connaissait son pouvoir et savait que cela était des plus important dans sa carrière. Il faut l'avouer, elle n'aurait surement pas était aussi douée et remarquable en tant que médecin si elle n'aurait pas eu ce don. Pouvoir guérir toutes sortes de blessures grâce à son sang, même si cela l'épuisait cela la quantité de sang utilisé était un don qu'elle remerciait chaque jour.

Mais ce n'était pas le plus important, le plus important dans tout cela était : Pourquoi ? Pourquoi avoir suivit sa carrière, à elle ? Il devait faire cela avec tout ses élèves, enfin dans un sens, elle ne l'espérait pas. Elle se serait trouvé si.. Enfaite, y'a pas de mot pour dire ce qu'elle ressentirai si Caliban lui attaché autant d'importance. Mais elle se fait des illusions, c'est ce qu'elle croit. Puis, enfin, elle secoua la tête pour chasser ses idées folles de la tête et un peu revenir à la réalité qui faisait que Caliban et notre petite Violette étaient dans la même pièce, à parler d'elle. Doucement, sa petite, mais des plus douce, voix se fit entendre jusqu'aux oreilles du Directeur et créateur du Val.

Ho, et qu'en pensez vous Professeur ?

Professeur, oui, elle l'appellera surement ainsi toute sa vie. Il a était celui qui lui a tout apprit. Elle lui doit tellement, non, elle lui doit tout. Sa carrière de médecin, sa réussite en cours et le fait d'avoir réalisé son rêve de jouer du piano. Bref, pour Violette, Caliban représente quasiment sa vie, enfin.. La cause de sa réussite. C'est Samuel qui ne serait pas content... du tout du tout..

(pire que d'habitude, ça craind -__-")

[HRP : Mais non, ne dis pas ça !... bon, ma réponse n'est pas top, elle XD.]

Parfait, il venait de piquer sa curiosité. C'était tout à fait ce qu'il voulait. Dans un sens, elle avait, probablement comme son frère, un petit trait d'Envie dans la manifestation de sa curiosité. Au premier abord, la question de la demoiselle avait l'air neutre, mais il la connaissait suffisamment bien - du moins, si elle n'avait pas radicalement changé depuis ses dernières années à l'Ecole - pur savoir qu'elle n'était pas désintéressée. S'il ne se jugeait pas sujet d'une quelconque passion, il savait qu'il y avait un lien entre eux, que ce qu'il disait ne tombait dans l'oreille d'un sourd.

Il s'avança vers elle. Sans chercher à être magistral, ou plus charismatique qu'une autre fois, il avait toujours cette tendance à imposer sa personne. C'était parfaitement inconscient, mais, quand on faisait presque deux mètres, forcément, il y avait comme une prestance qui le suivait. Il était difficile de ne pas le prendre en compte, d'oublier sa présence. Plus encore, probablement, pour Violette qui le prenait pour cible de bien des pensées, l'homme devait être le seul capable de capter son intérêt ainsi.

Quand il glissa sa main sur le piano noir, le sourire assez particulier, il posa son regard unique sur elle. Violette, derrière les verres teintés, reçut un regard pesant, lourd, chargé d'intérêts. De la position qu'il avait reprise, il pouvait librement observer quelques courbes aguicheuses. Volontairement ou non, là n'était pas la question.

-Je me suis senti fier de te voir réussir ainsi. Fier d'avoir su t'aider...

Il attrapa une mèche de cheveux de cendre entre ses doigts fins, un sourire engageant au creux des lèvres. Le regard de l'Envie frémissait d'une impatience particulière. Caliban approcha son visage de son élève, de son ancienne élève, comme pour l'embrasser. Le Désir tentait peut-être d'attiser, lui-même, l'envie. Et, alors que leurs lèvres semblaient sur le point de se rencontrer de nouveau, il murmura :

-J'ai une proposition à te faire, pour une de mes recherches.

Le Directeur planta son oeil dans ceux de la jeune femme. Il lui demandait son avis, bien sûr, mais il espérait qu'elle saurait répondre positivement à son appel. Parce qu'il avait besoin d'elle, parce qu'il savait qu'elle pouvait l'aider. Ou plus exactement, qu'elle pourrait accepter de l'aider. Et c'était là le trait le plus important.

-Est-ce que cela t'intéresserait de m'aider ? ... embrasse-moi...

Le Léviathan serait-il un peu manipulateur ? Lui que l'on pouvait, au final, si facilement convaincre ? D'un regard objectif sur la scène, nous pourrions dire sans mal qu'il avait l'air intéressé - comme d'habitude, après tout - , mais le médecin verrait-il cela de la même manière, ou le trouverait-il simplement charmeur ?

[C'est nul.. pardon pardon pardon..]

Il avait en effet réveillé la curiosité de notre jeune médecin. Il s'était préoccupé, au moins un peu, de son avenir après l'école et elle en était très fière. Encore plus lorsqu'il lui avoua qu'il était fier d'elle. Un sourire aux lèvres rosées de la demoiselle alors qu'elle ne dira mot pour le moment. Non elle l'observera simplement. Il était là, tout près d'elle à la fixer alors qu'elle était encore assise sur le banc devant l'instrument de ses rêves et de ses plus doux souvenirs. Il la regarder, il avait une vu fabuleuse sur son décolté, sur ses jambes également et elle le savait mais pourtant, elle n'en jouera pas. restant un peu mystérieuse même si Caliban l'avait déjà vu totalement dénudée.. mais là, c'est pas pareil, elle n'avait plus 17 ans et son corps avait également changer, et de ce fait, elle voulait le faire languir, elle savait, au plus profond d'elle même qu'il la désiré.. Ou était-ce simplement une de ses envies qu'elle souhaite tellement, qu'elle en est devenu un sentiment ? Enfin, un truc du genre ?! Mais ce sentiment ne se fit que plus réel lorsqu'il prit entre ses doigts, une de ses mèches cendrées, jouant avec un instant avant d'approcher. La demoiselle le laissa faire, comme hypnotisé par son regard, par ses gestes et sa voix. Leurs lèvres s'effleurent, un peu, puis il murmurera.. Quelques mots qui attiseront un peu plus sa curiosité. Ses lèvres étaient sur le point de bouger quand il reprit la parole.. Alors qu'elle allait simplement répondre, son "embrasse-moi" la surprit un peu plus. Sur le moment, aucun mot, aucun son tant qu'elle réagit puis un sourire. Un sourire qui s'élargira un peu plus sur son doux et tendre visage alors qu'elle viendra effleurer ses lèvres et... Se leva pour se présenter devant lui dans une posture des plus professionnelles. Tout d'abord elle viendra placer ses mains dans son dos, restant droite avec un léger sourire avant de prendre la parole

C'est une bien belle proposition que vous me faites Professeur et vous savez que vous pouvez compter sur moi pour vous aider..

Elle regardera autour d'elle un instant. Elle savait très bien, et avait su comprendre ses mots depuis le temps, même si, son charme faisait qu'elle craquait toujours, et même maintenant. peu à peu, son corps, son cœur, ne réclamaient que lui, ses lèvres, son corps, ses mots mais elle n'était plus une élève maintenant et elle avait très bien comprit les cours de séductions de son ancien professeur. Là, à cet instant, elle n'avait qu'une envie : se jeter sur lui et l'embrasser comme il l'avait demandé, mais elle devait résisté, rien qu'un peu, quelques minutes.. Reprenant le contrôle de ses sentiments, elle dira

Alors j'accepte avec... plaisir

Non... ne pas approcher.. même si elle le fait.. ne pas approcher son visage de lui, même si elle le fait, ne pas l'embrasser... Ouf elle ne la pas fait ! Elle était là, a quelques centimètres de lui avec un petit sourire aux lèvres. Ce petit sourire qu'elle avait toujours eu, même il y a six ans. Son cœur qui bat la chamade, aussi fort qu'une batterie, et là.. Elle ne su résister.. Il était si beau, il était celui qu'elle avait toujorus voulu et d'ailleurs, elle lui obéira encore maintenant, même si c'était avec un peu plus de temps de réaction que la plupart du temps. Ses lèvres contre les siennes, elle s'était jetée dans ses bras quasiment, l'embrasser le plus tendrement possible, et ne reculant pas. restant là, a goutter le gout de ses lèvres qui lui avait manqué..

Parfait.

C'était parfaitement ce qu'il avait désiré : qu'elle s'approche de lui plus que nécessaire, qu'elle en vienne, même si elle avait cherché à se montrer distante en redevenant un moment professionnelle, à retomber dans ses bras. Maintenant, il savait qu'il pouvait commencer à se l'approprier. Violette allait de nouveau lui appartenir, comme avant.

Il n'y avait pas grand chose, dans les actions de Caliban, qui pouvait trahir un quelconque sentiment. Parce que les sentiments, il les réservait à sa famille. Du moins à celle qui lui restait. Pour lui, la situation était bine simple : la demoiselle face à lui n'était un désir, une envie qu'il ressentait à cet instant précis. Il aurait pu la laisser de côté, l'oublier, ne pas y faire attention, mais il était celui qui se laissait porter par ses désirs.

Pour l'instant, donc, elle devenait un but, un être à obtenir, et elle devenait presque unique dans l'esprit de Caliban. C'était celle qu'il devait amener à lui. Et elle n'avait pas l'air contre, même si ses intentions étaient, en quelque sorte, bien meilleures. Elle ne cherchait pas, elle, à obtenir, elle ne cherchait pas à s'emparer de lui, elle l'aimait.

Le Directeur profita du baiser, avec une esquisse de son sourire si particulier. Pour l'instant, il cherchait à vaincre d'éventuels autres amants, qu'il s'inventait avec la demoiselle. En voir d'autres, cultiver une jalousie qui était peut-être totalement injustifiée, ne s'en parler qu'à soi-même, pour doucement se détruire. Dans l'esprit de l'Envie, Violette avait actuellement une multitude d'amants, dans laquelle il n'était pas mieux que les autres. Au contraire, il devenait le pire être qu'elle n'avait jamais connu.

Et il devenait changer la donne, il devait devenir le meilleur. Ses lèvres étaient tout de même plus conquérantes qu'elles ne l'auraient peut-être du. Mais la demoiselle avait l'habitude, peut-être.

L'homme écarta légèrement ses lèvres. Ne pas oublier ce qu'il lui avait demandé.

Quoique, ce n'était pas si grave, s'il laissait un petit contretemps entrer dans ses plans. Il avait tout le temps qu'il lui fallait pour s'occuper de ses inventions, après. Et puis, c'était elle qui l'intéressait, pour l'instant. Rien d'autre. Personne d'autre.

L'Envie laissa ses mains errer le long du coup du médecin.

-Merci d'avoir accepté.

Ses caresses, tremblantes et sûres d'elle, frémissantes de désir, ne souhaitaient que se refermer sur l'âme de la demoiselle en face de lui. Il glissa ses doigts jusque sur la cravate de la jeune femme, qu'il dénoua en souriant.

-... avec plaisir...

Il détacha le premier bouton de la chemise de la jeune femme.

Violette, à lui ? Il n'y avait aucun doute la dessus, Violette McGuire lui avait toujorus appartenu, même aujourd'hui, même lorsqu'elle n'avait plus de nouvelle de lui. A vrai dire, dans son cœur comme dans sa tête, il n'y avait personne qui pouvait rivaliser avec Caliban mais apparemment, celui ci ne l'avait pas compris. Tant mieux dans un sens après tout. Ainsi elle pourra peut être encore avoir la chance de le voir faire ce qu'il sait de mieux faire pour l'avoir à nouveau tout à lui.

Un sourire tendre venant sur ses lèvres finement rosées alors qu'elle savoure simplement les caresses gentillement offertes par le directeur. Un frisson parcourant le corps de la jeune femme de tout son long alors qu'elle le laisse faire évidement. Elle avait beau essayé d'être distante, de rester professionnelle mais devant lui.. Face à lui, elle ne peut rien, sa tête ne pense plus, son cœur bat à une vitesse ahurissante, et son corps ne répond plus qu'à ses désirs.

Puis il deviendra plus spontané, comme elle le connait si bien, il glissera ses mains pour venir dénouer sa cravate. Elle ne fit rien contre, bien entendu alors qu'il la remercie. Elle laissera un "de rien" s'échapper d'entre ses lèvres alors qu'il déboutonne doucement son chemisier. D'abord le premier bouton. Elle sourira un peu plus, frissonnant un peu plus en sentant ses doigts parcourant son cou jusqu'à sa poitrine. Ben oui le premier bouton non ouvert était juste au niveau de sa poitrine XD. Doucement elle viendra se coller à lui, venant effleurer ses lèvres des siennes simplement en un doux sourire. Doucement elle viendra susurrer

Elle consiste en quoi... votre recherche ?

La recherche ? Elle en a strictement rien à faire pour le moment à vrai dire. Elle ne s'occupe que de Lui.. Simplement Lui... A vrai dire, elle avait trouver l'excuse de venir lui dire qu'elle était là, juste pour le voir et aussi le toucher, ressentir ses lèvres l'embrasser, ses mains la caresser et plus encore. Mais elle ne se doutait pas qu'elle allait réussir. Ses lèvres près des siennes, les effleurant simplement, juste sentir son souffle contre les lèvres. un sourire doux et tendre à nouveau, à vrai dire, il n'y avait que se genre de sourire avec lui, sauf quand il est distant, ça l'énerve mais ça n'arrive pas souvent et heureusement !

Ses mains qui s'avance vers lui, une venant se poser sur sa nuque alors qu'elle ne résistera plus longtemps pour venir l'embrasser à pleine bouche. Un baiser doux qui doucement devient envieux. Entre ouvrant les lèvres pour rendre le baiser un peu plus.. Profond ? L'autre main, venant simplement sur son torse alors qu'elle se colle maintenant tout contre lui. Sa poitrine pressant son torse. Venant murmurer de sa voix douce

Et quel sera mon rôle ?

Violette était, inconsciemment, peut-être, en train d'attiser l'Envie. Lui qui, quelques instants auparavant, avait su diriger la situation, n'en venait plus qu'à ses propres désirs. Tant mieux, ils n'étaient en rien contraires à ce qu'il avait prévu pour la suite. Pour l'instant, il pouvait profiter de l'instant. Profiter d'avoir retrouvé une ancienne élève, et qu'elle accepte de se livrer à lui... en souvenir du bon vieux temps.

Dès lors, là, si proches l'un de l'autre, ils étaient sur le point de se retrouver. Après quelques années d'absence, il allait pouvoir voir à quel point son élève avait grandit. Les années ne pouvaient que rendre cette jeune femme superbe, et il fallait le vérifier. Tant mieux, elle n'avait pas l'air contre. Leurs lèvres se frôlaient à peine, lorsqu'elle demanda ce qu'elle devait faire, et il sourit bien plus qu'auparavant. Oui, ils allaient avoir un léger contretemps, avant de s'occuper des évolutions de la science, pour s'occuper de l'évolution du corps féminin.

Leur baiser commençait à changer, pour devenir témoin du désir qui montait entre eux. Impérial, le Directeur cherchait sans cesse à prendre possession de la jeune femme, à demeurer son professeur, celui qui la contrôlait. Ses longs doigts frémissaient d'envie, en glissant sous la chemise de Violette, alors qu'il la dominait de toute sa hauteur. Les mains de Caliban caressaient la peau de la demoiselle, frôlant son sous-vêtement, alors que le baiser s'éternisait.

Et puis il libéra ses lèvres, pour lui murmurer :

-Nous verrons cela plus tard, je pense. J'aimerais... te posséder, avant.

Cela avait au moins le mérite d'être clair. Il prit la jeune femme dans ses bras, la soulevant comme on soulève une jeune mariée, puis alla jusque dans sa chambre, dont il ferma la porte derrière lui, pour la déposer sur le lit. Son oeil pâle glissa sur le corps de Violette. Il se débarrassa de ses chaussures, et se pencha au-dessus d'elle. De sa hauteur, il dominait. Il n'y avait aucun doute là-dessus. Mais au fond de lui, Caliban Leviaz se sentait terriblement inférieur.

Sa main droite entreprit de finir de déboutonner la chemise de son élève, la gauche errant sur sa cuisse. Et ce qu'il découvrait petit à petit ne semblait pas le déranger... L'Envie alla déposer ses lèvres dans le cou du médecin, pressant de nouveau son torse contre sa poitrine. Il la trouvait belle, magnifique, elle allait donc devoir lui appartenir.

-Montre-moi ce que tu es devenu...

Il se redressa, prêt à l'observer. Le Directeur quitta son haut, pour apparaître torse nu face à elle. Bien sûr, il n'avait pas changé. Mais elle ? Elle, elle lui semblait encore plus radieuse qu'avant, et avait, pour l'instant, l'air d'avoir échangé l'innocence de l'adolescence contre une maturité des plus attrayantes. Elle lui était désirable. Il devait devenir l'unique être qu'elle pouvait aimer, effacer tout ce qu'il y avait en elle, pour n'être plus qu'un, et pas un parmi tant d'autres. Oh, oui, il se trompait, il s'imaginait des choses qui n'étaient pas, et n'avait aucune idée de ce qu'elle ressentait pour lui, et du mal qu'il pouvait lui faire.

Et puis, après tout, quel était le mal dans les gestes envieux qu'il esquissait avec elle ? Quel était le mal dans ces caresses qu'il se permettait encore de faire sur la cuisse de la demoiselle, en espérant qu'elle se dénude devant lui ? Ils allaient lier leurs corps. Pour elle, ce serait un acte d'amour. Pour lui, ce serait un combat. Elle vivait pour cela... et lui allait tout droit vers sa mort.

Son souffle, sa chaleur, son odeur, tout ça montait en elle alors que ses caresses la faisaient frissonner. Ses mains, brutales et douces à la fois qui parcouraient son corps la rend que plus folle de lui encore. Elle se collera à lui, ses lèvres sur les siennes alors que le baiser ne devenait que plus sensuelle. Il n'avait pas changer, la main de la demoiselle parcourant son torse avec sensuellement et douceur alors qu'elle savoure le gout des lèvres de son professeur. Il fallait avouer, que le fait que Caliban ait été son professeur l'avait toujours excité, que cela avait toujours rendu les choses plus appréciable encore.

Là, elle sentit sa main sur sa peau, sous le chemisier qu'elle avait alors qu'elle frissonna délicieusement. Elle le sentait, sa main qui effleure son sous vêtements, il avait toujorus connu ses points faibles et il l'ait avait retenue. Que vouloir de plus ? Rien ? Pourtant, elle avait envie de plus...

On pouvait dire que Violette était passée aussi à l'Envie après la Luxure. Mais elle ne connaissait pas encore Caliban alors XD... Mais là, en ce moment même, elle ne désirait vraiment qu'une chose : qu'il la prenne dans ses bras, et qu'il lui fasse l'amour comme autrefois. Et son rêve et ses désirs avaient été réalisé quelques minutes après alors qu'il répondit à sa question. C'était clair dans la petite tête de miss McGuire. Il l'a voulait, pour lui, il l'a désir comme il l'avait désirait avant. Un sourire sur ses lèvres rosées alors qu'il la prit dans ses bras. Un sourire un peu plus tendre, passant un bras autour de son cou pour me pas tomber, on sait jamais, alors qu'il ira simplement la déposer sur le lit.

Ses mains jouaient avec les boutons de son chemisier, la demoiselle lui sourira, le regardant avec son petit regard qui avait toujours fait craquer Caliban. Mis provocatrice, mi adorable mais très envieuse. Puis, il vient se coller à elle. Sa poitrine contre son torse alors qu'elle penchera la tête légèrement sur le coté pour qu'il vienne avec facilité embrasser son cou. Sa jambe, celle qu'il caresse, remontant un peu avant qu'il ne recule pour parler.

Il voulait donc qu'elle lui montre son corps, elle a 24 ans. Il faut dire qu'il avait pas tord, elle n'était plus une gamine. Elle avait changer, physiquement surtout, même si elle avait toujours rester la même. Tendre et douce avec les personnes qu'elle aime, et intelligente le reste du temps. IL se recula pour la laisser. La demoiselle se redressera, se mettant à genoux sur le lit en regardant Caliban. Des gestes sensuels, elle passera une mains sur son épaule pour faire glisser le chemisier doucement puis le retirer. Elle laissera le vêtements tomber au sol alors qu'elle se redressera vers lui. Elle approchera, restant sur le lit en avançant à quatre vers lui. Un sourire, un regard provocateur alors qu'elle reviendra au sol pour retirer peu à peu sa jupette noire. La laissant par la suite glisser le long de ses jambes. Elle était donc par la suite en sous vêtement avec les bas évidement. Elle viendra se coller à lui, un sourire avant de venir poser ses lèvres sur les siennes puis dans son cou. Son corps, sa poitrine tout contre lui alors qu'elle viendra murmurer

Je vous plait ainsi ?

/!\ Message à tendances sexuelles /!\

Elle était là, nue face à lui, à portée de main, et Caliban Leviaz la jugeait tout simplement imprenable, si éloignée de lui, qu'il ne pouvait seulement espérer y toucher.

Son élève avait grandi, elle était devenue une femme, elle était belle. Et il ne regrettait pas, bien sûr, de l'avoir appelée pour qu'elle vienne le rejoindre en tant que médecin. Ce moment ne serait pas le dernier, bien sûr. Il saurait de nouveau venir à elle, pour la reprendre, puisque jamais elle ne lui appartiendrait. Sourd face aux sentiments de cette femme, comme face à ceux de beaucoup d'autres, l'Envie observait, comme si rien ne dépendait de lui, comme s'il était tout autre. Comme s'il ne faisait pas l'homme, dans une telle situation. Simplement comme un être effacé, inexistant, improbable.

Et pourtant, ses doigts se posaient sur la peau jeune de Violette, son sourire se faisait étrange, toujours plus. Elle le charmait, oui, elle y parvenait, bien sûr, mais il ne jugeait pas en être digne. Il touchait là quelque chose qu'il désirait, mais qui ne serait jamais sien, quelque chose qui ne ferait que lui échapper. Quelque chose qui se perdrait entre les bras d'un autre. Le corps d'une femme n'était pas pour lui, le corps d'un être humain ne devait pas être sien. Et c'était pour cela qu'il prenait tant soin de braver l'interdit, et de la faire toute à lui. Pour mieux la sentir s'éloigner, pour mieux la perdre après. Pour se rappeler qu'il n'était rien.

Qu'il n'existait même pas.

Il la fixait, elle qu'il allait tenter, en vain, de conquérir, pour une énième fois. Ses doigts s'approchaient de cette peau tendre, la séparant de ce soutien-gorge qu'il trouvait probablement parasite dans une telle situation.

Les longs doigts fins du Directeur se posèrent sur la poitrine de la demoiselle, en rejoignant leurs lèvres, dans une caresse tendre. Elle le connaissait probablement suffisamment pour savoir qu'il n'allait plus, désormais, faire demi-tour. Il avait décidé qu'il allait la conquérir, et il n'allait plus penser qu'à cela, pendant un long moment. Pendant ce temps où il allait tenter de posséder ce corps et cette âme de l'intérieur.

Il esquissa un sourire, cessant son baiser.

-Tu es très belle...

Raison de plus pour qu'elle lui appartienne, n'est-ce pas ? Alors il alla retirer les bas de Miss McGuire, avec une lenteur qu'il ne supportait pas lui-même, avant de redresser son regard sur elle.

/!\ Message à tendances sexuelles /!\

Spoiler:

/!\ Bah comme celui qui précède /!\

Spoiler:

/!\ Message pouvant choquer les plus jeunes... ou pas /!\

Spoiler:

/! comme le reste Razz

/!

Spoiler:

/!\ Encore un petit peu pour le ... plaisir /!\

Spoiler:

FIN

» De retour, en direction du dortoir [libre]