Nom : Ecil
Prénom : Camille
Age : 12 ans
Famille : Camille a grandit dans une famille plutôt normale. Ses parents n’ont aucun lien avec le Val des Ombres, ce sont des gens relativement banals, ni riches, ni pauvres. Elle habite dans une ville de taille moyenne depuis sa naissance, dans un quartier résidentiel calme. Elle a deux frères et une sœurs. Sa sœur, Alice, a 16 ans, c’est l’aînée de la famille. Elles n’est pas très liée avec ses petits frères et sœurs, ayant toujours voulue montrer qu’elle était bien plus grande et plus mature. Vient ensuite Julien, d’à peine un an son aîné. Depuis toutes petits, ils se disputent beaucoup avec Camille, voulant toujours avoir le dessus l’un sur l’autre. En dernier, Théophile, actuellement 9 ans, un pleurnichard souvent malmené par les autres.
Description Physique :
Camille a un air de petite fille : de grands yeux, une frange bien sage, un visage encore rond. Ses cheveux sont blonds-roux, fonçant alors qu’elle entre dans la puberté, un peu en retard. Ses yeux sont noisette. Son nez et sa bouche sont fins, ce qui lui donne un air fragile. Elle a presque perpétuellement un sourire aimable, bien qu’hypocrite, sur le visage, et elle dégage une impression de douceur. Sa voix est haut perchée, son ton mielleux. Son rire aigu et sonore sonne faux, le parfait rire de le parfaite petite fayotte. Ses habits sont propres et bien repassé, elle rentre ses tee-shirts dans ses pantalon. Sa carrure est plutôt frêle mais elle n’est pas tout à fait maigres. Ses jointures sont fines. Elle se déplace avec légèreté. Bref, elle a l’air très sage.
Caractère :
Un mot suffirait presque à la décrire : Hypocrisie.
En effet, Camille est la parfaite petite peste, l’air toujours aimable mais qui n’hésitera pas à vous faire les pires crasses du monde. Vraie fayotte, elle a souvent été appréciée de ses profs, comme de la plupart des adultes. Elle sait montrer une face angélique. Elle est plutôt populaire parmi ses camarades, étant capable de faire croire à son innocence pour les couteaux qu’elle leur plante dans le dos. Pourtant, c’est souvent elle qui est à l’origine de secrets révélés, de fausses rumeurs ou d’une délation envers un adulte. Au fond, elle méprise un peu tout le monde mais surtout elle adore le pouvoir que la trahison peut lui procurer. Rien ne lui fait plus plaisir que de savourer la souffrance d’autrui en prétendant tenter de le réconforter. A part peut-être lorsqu’un adulte intervient pour lui donner raison et punir d’autres personnes, à tord. Surtout lorsqu’il s’agit de son grand frère. Bref, elle aime pardessus tout piétiner ses semblables.
Par contre, elle à vit très mal d’être découverte lors de ce genre de supercherie. Elle déteste plus que tout se sentir elle-même trahie, ou délaissée. Ainsi, elle est généralement entouré d'une bande "d'amis", bien que cette amitié soit souvent à sens unique. Elle n'aime pas la solitude, et essaye parfois de limiter un peu ses cibles - ou de peaufiner de bonnes excuses - afin de ne pas se retrouver totalement seule. Elle aime être le centre d'un groupe, mais manque de constance dans ses amitiés. Elle deteste les animaux, ne leur trouvant aucun interet, ce qui est peut-être un des seuls points noirs à son image de gentille petite fille....
Particularité : Son air « j’aime tout le monde et je ne veux que le bien » fait d’elle la parfaite chouchou des profs (du moins, dans une école classique) et une parfaite tête à claque.
Histoire : Camille est née dans une famille tranquille un an après son grand frère, et c’est à se moment-là que la famille est devenue un peu moins tranquille. Depuis touts petits ils se chamaillent perpétuellement. Mais, si Julien a plus tendance à bouder ou à frapper, Camille est passer maître dans l’art de la provocation suivit de « MAMAAAAAAAAN ! Il m’a tiré les cheveux ! » en à peine quelques année. En effet, Camille a bien compris, et très jeune, que pour obtenir tout ce qu’on voulait il ne fallait pas être le méchant de l’histoire. Ou du moins, ne pas le paraître.
Plutôt mignonne, elle a toujours attiré les compliments des adultes, voir des petits cadeaux. Elle se souvient bien par exemple de la boulangère qui plusieurs fois, alors qu’elle avait six ou sept ans, lui avait offert un bonbon « parce que tu es bien gentille » et rien à son frère qui bouder. Sans s’en apercevoir, beaucoup de ses proches l’ont favorisé par rapport à Julien, parce qu’elle était la plus petite. Et c’est à force d’entendre celui-ci crier – avec justesse – à l’injustice qu’elle a compris l’intérêt que l’on pouvait trouver à être parfaitement hypocrite. Ces quelques bonbons que la boulangère lui avait donné était certainement les meilleurs qu’elle ait jamais mangé, au nez de son frère alors que leur mère lui disais « Tu vois, si tu était un peu moins méchant avec ta petite sœur… ».
Et ce qui marchait à la maison ou à la boulangerie marchait de même à l’école. Menteuse comme pas deux, Camille a souvent vu d’autres enfants se faire punir à sa place. Un peu plus tard, vers ses neuf ou dix ans, elle a réalisé qu’il était incroyablement jouissif d’aller « réconforter le perdant ». Des « je suis désolée, j’espère que tu vas t’améliorer ! » glissé à des camarades à qui elle avait délibérément donner de mauvaises réponses lors du dernier contrôle. Mais depuis, elle a changé. Elle a compris qu’il valait mieux les laisser copier un brouillon faux que de donner explicitement les réponses : ça engage moins son intégrité.
Car bien sur, elle a été plusieurs fois découverte, ce qui l’a chaque fois laissée sans voix. Comme par exemple la fois où elle avait elle-même lancer un ballon derrière la grille de l’école et encourager un de ses amis à aller la chercher avant de dire à la maîtresse que oui, c’était lui qui était passé par dessus la grille, et que oui, elle lui avait dit que c’était interdit. Malheureusement, la maîtresse en question l’avait vu faire le guet pendant qu’il escaladait. La honte avait cuisante. Elle ne s’y attendait pas et elle avait été cruellement déçue. La douleur qu’elle avait ressentie alors reste dans son esprit, et ce renouvelle dans chacune de ses situations, même si elle est maintenant un peu mieux capable de sortir quelques excuse, toujours un peu pitoyables. Heureusement, elle a sauté son CM1, plus par favoritisme que par réels dons, et principalement pour prouver à son frère qu’elle valait mieux que lui. Car, quand il s’agit de montrer sa supériorité, Camille peut travailler d’arrache pied pour arriver à ses fins. Elle aime frapper là où ça fait mal, quitte à se faire mal toute seule.
Elle n’avait heureusement pas été placée dans la même classe que son frère, sans quoi tout cela aurait sûrement tourner au drame. Leur relations étaient toujours tendue mais connaissait quelques répit depuis que Théophile, leur petit frère, n’était plus si petit que ça : quand il s’agissait de l’embêtait lui, le petit dernier adulé, ils étaient capable de se lier. Apres tout, il était bien normal que certains de ses jouets soient cassé, cela rétablissait le déséquilibre du nombre de cadeau de Noël. Surtout que leur grande sœur, estimant la différence d’âge suffisante, accepté de jouer avec lui sans l’utiliser comme un simple objet, ce à quoi Camille et Julien n’avait jamais eu droit.
En grandissant, Julien s’était tout de même calmé. Toujours jaloux, il était devenu moins colérique et ne répondait plus autant aux provocations. Il appréciait le calme et la solitude. Camille dû donc compenser ce manque.
Le collège le lui permit. Les profs ne la voyait pas assez souvent pour ce rendre compte de sa fourberie, et il y avait plus de personnes sur qui faire retomber les fautes, des excuses plus simple à trouver. Le fayotage fonctionnait mieux que jamais. Camille était ravie.
Ses parents, un peu moins. A la maison, Camille se faisait de plus en plus exigeante et commencer à vraiment martyriser son petit frère. C’est pourquoi, quand elle reçue la lettre, ses parents pensèrent que cette école était peut-être une bonne solution. Dans un monde impitoyable, elle se calmerait sûrement… Ou trouverait de nouvelles armes, ajoutait mentalement la principale concernées.
Pouvoir :
Haleine maladive :
Le Flux à créé dans la gorge de l'infecté des glandes lui permettant de produire des germes nocifs à lui ainsi qu'aux autres, cela lui permettrait avec beaucoup de maitrise de répandre des maladies par son exhalation. Seulement plus la maladie possède des symptômes grave plus l'infecté consomme de l'énergie pour produire les germes, ainsi même si il était capable de souffler de la peste il ne pourrait qu'en remplir un flacon et pas la répandre dans toute une classe.
Pour l'instant, Camille n'est pas capable de répandre des maladies. Par contre, depuis son infections, sa gorge est enflamméeet elle a une haleine très changeante et pas toujours très agréable, c'est pourquoi elle a toujours des bonbons à la menthe sur elle.
Péché souhaité : Sans opinion…
Année d’étude : Première année