Le Val des Ombres
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 Valentin Vlash

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Valentin Vlash
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Valentin Vlash


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MessageSujet: Valentin Vlash   Valentin Vlash EmptyLun 21 Jan - 23:38

Nom : Vlash

Prénom : Valentin

Age : 18 ans

Famille :

- Théodor Vlash : Le père de Valentin est un homme acariâtre, ambitieux, orgueilleux et sévère. Leur maison familiale est une villa bourgeoise du centre de Budapest, en Hongrie. Le mal respirait de cet homme qui a toujours détesté son fils, et Valentin n’en garde que de sombres souvenirs. Théodor battait régulièrement son fils, et lui infligeait des punitions ignobles. Valentin en garde une image précise dans son esprit : Cheveux grisonnants et rares sur les tempes, de nombreuses rides, la peau pâle et le teint cireux, et le visage perpétuellement marqué d’expressions contrites.

- Elena Vlash : La mère de Valentin adonné la vie à Valentin le jour où elle voulut lui reprendre. Pour elle, donner était signe de faiblesse et depuis ce jour, où les médecins de la maternité l’ont empêché de mettre fin aux jours du bébé, elle n’a plus rien donné à Valentin : ni cadeau, ni affection, ni sourire ou parole. Elle ne lui a jamais parlé, considérant qu’en lui donnant la vie, elle ne lui devait plus rien d’autre.

- Rachel Vlash : La tante de Valentin, sœur de son père, intendante de la maison familiale, pour ne pas dire esclave. C’est grâce à elle que Valentin a survécu, au niveau subsistances physiques.

- Le reste de la famille : Valentin n’a pas connu le reste de sa famille… Ses parents n’ayant aucune affinité avec leurs proches parents, qui étaient de bons vivants riches et gentils qui dilapidaient leur argent en l’offrant à des associations s’occupant des personnes pauvres dans la pure tradition chrétienne dont il est issu… Foutaises, selon ses parents. Des fadaises, des dégénérés qu’il ne fallait pas fréquenter, autant du côté de la mère que de son père.


Description Physique :

Qui pourrait croire en voyant Valentin qu’il a du sang mauvais qui lui coule dans les veines ? Il a la peau pâle, opalescente et douce, fine et sensible, sans le moindre accro, sans le moindre défaut. Le velours pourrait être jaloux de cette peau de pêche. La peau recouvre les muscles, pas très épais ni développés. Valentin est mince, très mince. Ça lui donne une allure un peu aérienne, quand il fait aller ses longs membres d’avant en arrière. Car oui, il est grand. Mesurant près d’un mètre 84, il est tout en longueur, jambes et bras, pieds et mains, même si on ne peut le qualifier de géant, surtout que sa stature et silhouette fine feraient plutôt penser à un serpent. Son long cou est surmonté d’un visage rêveur aux traits fins et efféminés. Un petit nez en trompette, des lèvres fines à la couleur légèrement plus sombre que sa peau, un menton pointu et des pommettes lisses garantissent à Valentin une expression presque enfantine, malgré son âge. Il est imberbe, et ses cheveux mi-longs en bataille sont entièrement blancs, bien qu’il ne soit pas né ainsi…
Son œil… Oh… Aurais-je oublié de mentionner jusqu’ici qu’il n’avait plus qu’un œil ? Et bien voilà qui est fait… Son unique œil, le droit, est grand et d’un bleu beau et profond. Son regard respire l’innocence et la gentillesse. Son œil manquant a été remplacé par une bille de verre soigneusement fixée, entièrement noire, comme si elle était faite en Onyx, avec pour donner l’illusion d’un regard deux cercles concentriques rouges. Il met en avant cette particularité avec du maquillage noir qu’il prend le soin de refaire chaque matin. Une demi-lune au dessus, une autre au dessus. Elles sont toutes deux tranchées d’une ligne verticale brisée au niveau de la joue.
Son style vestimentaire est bien particulier pour un jeune homme de son âge. Une chemise blanche au col relevé et déchiré, une veste de costume noire, accordée à son pantalon, et une lavallière de la couleur de son péché, mal nouée et peu serrée.


Caractère :

Rêveur ? Vous avez dit rêveur… C’est que vous êtes bien loin de la réalité ! Certes Valentin a une apparence un peu nuageuse, perpétuellement dans la lune, mais c’est loin d’être l’essence de son être, qui se révèle d’ailleurs être une essence double. En effet, Valentin est victime d’un cruel dédoublement de personnalité, ou du moins, c’est ce qu’on pourrait penser. Disons que dans son esprit, tout est clair, il est une victime et les autres ont toujours eu ce que lui n’a jamais eu…
Affections et sourires ne font pas partie de son histoire, et il a toujours fortement envié ces personnes à qui tout souriait, créant en son être un profond désir de vengeance sur ces personnes. Pour pallier à ce désir incontrôlé, qui effraie Valentin par sa vigueur, il s’est créé un monde à lui, où il erre souvent, seul, dans une vie heureuse, jusqu’à ce que des problèmes dans sa vision de ce monde le ramènent à la cruelle réalité…
à l’extérieur, ce trouble se caractérise par des absences répétées et chroniques, comme s’il s’évadait de son propre corps, de son propre esprit, pour rejoindre ce monde imaginaire dont il rêve si ardemment, dont il a tant envie, ce rêve que d’autres que lui ont touché. À ces autres, justement, il voue une rancœur et une amertume sans limite. Il ne peut s’empêcher de les envier, de vouloir être à leur place, car il sait que leur vie ont été meilleure que la sienne. Que serait-il devenu s’il avait pu profiter d’une telle vie ? Ne serait-il pas mieux ? Jamais il n’a douté de ça, évidemment qu’il serait mieux ! Ça ne fait aucun doute !
Valentin n’en est pourtant pas moins un garçon intelligent, rusé et sombre. Lorsqu’il n’est pas ‘ailleurs’, Il est froid et méthodique, ayant appris à transmettre à travers sa jalousie des autres un sadisme cruel. Il fait le mal par vengeance contre le bien-être que les autres ont eu et dont il n’a pu profiter…


Particularité :

Un œil de verre, noir avec deux cercles concentriques, cerné de maquillage noir. Il parait gentil, ou du moins en a le physique… Cheveux blancs et vêtements peu soignés, tout en restant élégants. Il est une particularité à lui tout seul.

Pouvoir :

Miroir :
Le corps de l'infecté en temps normal reste quasiment inchangé, sauf lorsque l'infecté se voit la cible directe d'une agression par le biais d'un pouvoir généré par un autre Flux alors le corps de l'infecté réagit en s'adaptant pour que le pouvoir qui devait agir au départ sur lui soit redirigé, ne subissant pas le pouvoir, le déviant.
Lorsque le corps n'est pas la cible unique d'un pouvoir mais est une cible parmi les autres d'un pouvoir affectant tout ce qui l'entour son corps ne peut pas réagir au vu du fait que le pouvoir est trop diffus et qu'il ne peut pas l'assimiler suffisamment pour le renvoyer.
Enfin certains pouvoirs ne peuvent être assimilés suffisamment bien par le corps de l'infecté pour qu'il puisse les renvoyer et ne fait donc que subir ceux-ci.
Autre précision, l'infecté ne peut en aucun cas cibler lui-même la personne sur laquelle le pouvoir qui était sensé le toucher rebondira.


Péché souhaité : Envie… (surprenant non ?)

Année d’étude : 5ème (deux redoublements)


Dernière édition par le Mar 22 Jan - 3:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Valentin Vlash   Valentin Vlash EmptyLun 21 Jan - 23:43

Histoire :

Une histoire ? Celle de Valentin… Sa vie n’a été qu’une suite d’événements se répétant sans arrêt durant son enfance. Il croyait que son adolescence allait changer, mais c’est dans un nouveau cercle vicieux qu’il s’est engagé… Voici donc quelques moments marquants de sa vie…

1. Naissance :

Le jour venait à peine de se lever sur la capitale Hongroise, un jour terne et sans chaleur. À l’extérieur, un brouillard épars troublait légèrement la vue, comme si la fraîcheur de la nuit abandonnait la place à la fraîcheur du jour, s’envolant vers les cieux grisonnants. Une journée ordinaire donc, qui ne prévoyait rien de particulier. Et pourtant…

« Aaaaah ! »

Un cri déchirant troubla la tension de la salle d’accouchement. Un cri de libération, un cri de douleur. Elena Vlash venait de mettre au monde son premier enfant et avait le visage encore marqué de la douleur du passage du bébé. Elle était belle, néanmoins, mais terrible à la fois. Le médecin venait de lui annoncé qu’elle avait donné la vie à un garçon. Elena ne fit même pas attention à l’énonciation du sexe de son enfant. Elle s’était arrêtée sur un mot : ‘donner’ !! Elle ! C’était inconcevable. Une colère glaciale s’empara se son être quand Valentin fut posé sur son ventre, pour le premier contact avec la peau de sa mère, le seul qu’il aurait jamais. Aussitôt que le nourrisson pesa de tout son poids sur la peau de sa mère, celle-ci voulut en finir avec lui. Elle le saisit sous les bras et le souleva au dessus de sa tête pour le lancer. Heureusement, le médecin accoucheur était resté tout près, et sitôt qu’il eut perçu ce qu’allait faire la femme, il lui prit le bébé des mains et l’emporta.
Par la suite, il fut rendu à sa tante, sa nourrice, l’intendance de la maison familiale. Elle devait s’en occuper car les médecins avaient diagnostiqué chez la mère une crise aigue de ‘baby-blues’ qui pouvait reprendre à chaque instant. Dès la naissance, il fut séparé de sa mère.


2. À l’aube des six ans :

Vendredi midi. Le lendemain allait marquer l’avènement du sixième anniversaire de Valentin, jeune enfant calme – il n’avait pas le choix- et plutôt maigre pour son âge. Comme à peu près tous les jours, il avait passé sa matinée puni, enfermé dans la cave obscure de la maison sinistre qu’ils habitaient. Le seul contact avec la lumière parmi les ténèbres était un minuscule soupirail qui donnait sur la rue. Grimpant sur sa vieille caisse en bois, il s’était installé pour regarder dehors. Il faisait beau, c’était l’été et la température était propice aux jeux d’extérieur. Valentin lui, ne pouvait jamais sortir jouer. Ça lui était interdit. C’est pour cette raison d’ailleurs qu’il avait été puni. Il avait osé demander d’aller jouer dans la rue avec d’autres enfants de son âge. Cette effronterie lui avait valu sa punition habituelle, de longues heures passées dans le noir de l’inquiétante cave. Il regardait à l’extérieur, à où il aurait voulu être, là où il aurait du être. Deux gosses jouaient au ballon, un beau ballon rouge qui rebondissait sur les pavés au rythme des rires enfantins. Il les regardait jouer, les larmes aux yeux. Ces enfants étaient heureux, lui, il ne savait pas s’il était un enfant. Il ferma les yeux et une larme coula le long de sa joue. Les images vinrent se plaquer dans ses pensées…

Il venait d’attraper le ballon qui se dirigeait à toute vitesse sur lui. Satisfait, il shoota dedans avec force pour le lancer à ses petits camarades, sous leurs rires. On lui envoya à nouveau le ballon, et il chuta sur le sol, sans la moindre douleur. Les rires innocents résonnaient dans la rue et ses deux amis vinrent l’aider à se relever. Il était bien avec eux, le petit rouquin et le gros blond, ses copains. Ils riaient ensemble, de bon cœur, facétieux…


« Les enfants, il est l’heure de manger ! »

Valentin ouvrit les yeux. Il était à nouveau dans la cave, à regarder le gros Joe et son copain poil de carotte ramasser leur nouveau ballon. La voix féminine qui les avait appelés était celle de la mère de Joe, qui attendait les deux petits sur le seuil de la porte de la maison s’en face. Les deux enfants se précipitèrent vers elle avec un cri joyeux, sautant dans les bras de la dame, qui leur fit un bisou à chacun avant de les serrer, puis de les laisser courir s’installer à table.

La porte de la cave s’ouvrit, libérant un peu de lumière. Valentin ne bougea pas, il avait l’habitude. Des bruits de pas descendirent les marches et le bruit d’une écuelle se posa sur le sol. La voix de sa tante se fit soudain entendre.


« Ton repas, avorton ! »

Et il ferma à nouveau les yeux quand les pas remontèrent… Les sanglots naquirent dans sa gorge et il tomba en pleurs, les larmes chaudes et salées s’écoulant sur ses mains serrées. Tout ça était de la faute de ces deux arrogants garçons. Il ne serait pas malheureux s’il ne les avait pas vus ! Ils exhibaient leur bonheur face à Valentin.

3. La lettre apportée par ses parents:

Douze ans… Valentin avait passé douze ans ainsi torturé entre l’indifférence de sa mère et la dureté de son père. La cave avait finit par devenir son refuge, et il s’y dissimulait souvent quand il sentait que quelque chose allait mal, sans même qu’on ait à lui dire. Il y passait le plus clair de son temps, de sa propre volonté, ce qui rendit sa peau aussi pâle que la poussière des meubles anciens entreposés dans l’endroit. En haut de l’escalier, ce soir d’automne, une voix résonna alors que Valentin était allongé sur sa caisse, sa vieille caisse. C’était la voix de son père…

« Valentin ! Monte ! Dépêche ! »

Obéissant, puisqu’il ne lui était pas laissé le choix, il monta les escaliers en se hâtant. Son paternel sévère était là, dans l’embrasure de la porte, à l’attendre. Baissant le regard, il vit qu’il avait en main un papier, une lettre, qu’il tendait avec empressement au garçon. Celui-ci la saisit pour la parcourir des yeux. Après une rapide lecture, il leva la tête vers son géniteur, les yeux emplis d’incompréhension. Lui, un grand du mal, dans une école du mal, pour apprendre le mal ? Quelle était encore cette chose farfelue. Il pensa à une blague, bien que ça ne soit pas du tout le genre de Théodor. Il écarta donc cette hypothèse de son esprit. La voix résonna encore, tranchante, comme toujours…

« Tu ne peux pas nous décevoir, cette fois ! »

Ainsi donc il s’était fait à l’idée de partir enfin de chez lui, quitter ces êtres qu’il n’avait jamais aimés. Pour quoi, il l’ignorait, mais s’en réjouissait d’avance. Rien ne pouvait être pire que ce qu’il avait vécu jusque là. Il se trompait lourdement…

4. Année ratée:

Le verdict était tombé ce matin : Valentin venait de rater sa troisième année à l’Ecole du Flux. Après les deux premières passées de justesse, ses professeurs avaient cru bon pour lui de le faire doubler, puisqu’ils le trouvaient trop gentil, comparé aux autres élèves. Trop faible, qu’ils avaient dit… Et ils avaient raison. Valentin ne s’était pas comporté comme un disciple du mal, jusque là, mais plutôt comme un fantôme de l’école. Perdu la plupart du temps dans ses pensées, dans le monde qu’il s’était créé, il ne commettait pas le mal, il ne faisait que le penser. Ses rancœurs n’étaient qu’intérieures, ses désirs le consumaient sans qu’il les assouvisse, ses envies de vengeances n’étaient que pensées…

Caliban Leviaz était alors arrivé, au détour d’un couloir, et avait plaqué Valentin contre un mur, le soulevant légèrement. Le directeur regarda avec hargne les deux yeux bleus de Valentin, qui tentait tant bien que mal de ne pas montrer sa peur.


« Elève Vlash, incapable, je te préviens ! Dorénavant à chaque année que tu rateras, je t’arracherai un œil ! »

Puis il l’avait laissé retomber et s’en était allé. Valentait avait alors glissé contre le mur, tétanisé par les menaces cruelles de cet homme qu’il détestait plus que tout. Et il le détesta encore plus. L’année qui suivit marqua un tournant dans sa vie, il apprit le mal, il apprit le sadisme, la méthode et la froideur. Il apprit à faire mal, et à aimer la douleur qu’il procurait pour soulager sa vengeance. Il ne perdait jamais ses moyens, au grand dam de sa prof de Colère. Il maîtrisait toujours tout ce qu’il faisait, savourant la douleur…

5. Année ratée, le retour…

Cinquième année à l’Ecole du Flux. Il s’était relâché, créant des tensions avec sa prof d’Initiation à la fureur. Il avait décidé de déserter ce cours ce qui bien entendu, avait entraîné son redoublement. C’était la seconde fois, et c’était inacceptable… Il n’avait pas oublié la menace du directeur, mais il se dit que celui-ci l’avait ôtée de ses pensées. Il ne s’en souviendrait plus, c’est certain, et malgré la déception d’une nouvelle fois recommencer, une année de plus dans cette école maudite, il prenait un peu à la légère son année ratée. Hélas, il avait sous-estimé le directeur et sa mémoire. Aussitôt la cérémonie de fin d’année clôturée, Caliban s’était approché de Valentin et l’avait entraîné dans une salle, la salle de torture de la tour nord. Sans qu’il puisse faire quoi que ce soit, Valentin s’était vu attaché, immobilité à une poutre, alors que le directeur sortait une tenaille brûlante du feu. S’approchant de Lucas, il lui dit avec hargne :

« Je t’avais prévenu, incompétent ! »

Il avait plongé la tenaille dans l’œil gauche de Valentin, sans une once d’hésitation. Le jeune homme s’était évanoui sur le coup. Quand il s’était réveillé, il était allongé sur un des lits de l’infirmerie. On lui avait ôté les morceaux d’œil fondu qui persistaient dans son orbite… Il était borgne, et c’était de sa faute. Pourtant qu’est-ce qu’il n’aurait pas donné pour être à la place de Caliban, et lui à la sienne…

Son œil fut remplacé peu après par la prothèse en verre opaque, et bientôt, il s’y habitua, se promettant qu’il aurait sa vengeance, paré à affronter cette deuxième cinquième, encore plus envieux des jeunots qui l’accompagneraient désormais, incapable de savoir les douleurs qui lui avaient été infligées à lui, et pas à eux !
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Caliban Leviaz
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Caliban Leviaz


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MessageSujet: Re: Valentin Vlash   Valentin Vlash EmptyMar 22 Jan - 17:00

Voilà, c'est qu'on a fini de se poser des questions ^^.

Bienvenue parmi nous.

Et attention, la prochaine fois je ne serai peut-être pas d'aussi bonne humeur Twisted Evil ... j'appellerai tes parents x) !
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