Aramenis Blackard
Colère
Nombre de messages : 34 Age : 30 Localisation : Dans les plus sombres de vos cauchemards... ou peut être ne suis-je nulle part et partout à la fois? Date d'inscription : 22/12/2008
| Sujet: Araménis Blackard Mar 23 Déc - 1:24 | |
| Nom : Blackard
Prénom : Araménis
Age : 12 ans
Famille : Que dire de ma famille ? Comment pourrais-je vous expliquer ça... * réfléchit, parut sceptique, puis décidé, et reprit son stylo afin d'écrire ceci : * Hé bien, voyez vous, j'ai toujours détesté cette famille. Toujours joyeuse, toujours contente, tout mon entourage n'avait de cesse de me répéter, encore et encore " Aides ton prochain mon petit, aime le et jamais ne lui fait ce que tu n'aimerait guère qu'il te fasse, ... " Pfff, ri-di-cu-le ! Non, la vie c'est pas ça, la vie c'est bien si on torture son prochain, si on n'attend pas qu'il tende la joue gauche avant de taper sur la droite, si on est un méchant. C'est moi qui ai demandé pour venir ici, y en avait ras-le bol de toutes leurs co*****es ! Enfin voila quoi, ma famille, autant vous dire que jamais vous n'aimeriez en avoir une comme ça. Vous savez quoi ?? Je regrette que le Moyen Age soit fini, si j'y avais vécu, j'aurais pu les brûler sur la grand-place ! * Regarde sa feuille avec un grand sourire, de la bave aux commissures des lèvres et des yeux ou l'on distinguait aisément le plus pur sadisme. Il se reprit de ses émotions puis se remit à écrire : * Je suppose que vous ne vous contenterez surement pas de ces maigres informations, je vais donc décrire plus amplement ce que je me dois malheureusement d'appeller ma "famille" :
Mon père, Jorün Blackard, quarante-sept ans, banquier. Fervant catholique, mon père à - à plusieurs reprises - essayer de me trainer dans ce qu'il appelle "la maison de Dieu". Moi, tout ce que j'aime dans cette baraque, c'est les gargouille ; pas franchement l'autre guignol qui prône la paix, mais chacun son tripe... Bref, mon père a fait de son mieux, c'est déjà ca, pour nous élever dans l'amour la fratrie et tout le tralala. Merci pour moi, il à échouer, quand je vois ce qu'il a fait de mon frere...
Ma mère, Helen Blackard, quarante-cinq ans, comptable. Fervante femme au foyer, ma mère, elle, n'a mis le pied dans une église que lors de son pietre marage. Mon père bien entendu a essayer de la trainer "la dedans" aussi, mais sans résultat. On pourrait croire que je l'aime bien, mais non. Le truc, c'est que ma charmante petite maman est à l'origine de l'histoire de l'ours - que j'expliquerais plus bas - , et qu'elle affiche en permanance un de ces sourire béats qui donnent plus envie de taper que de dire bonjour...
Mon frère, Horim Blackard, quinze ans, petit ange. Fervant catholique au foyer, mon frère s'est fait endoctriner par mon père. C'est le parfait petit ange: le sourire béat de ma mère, precheur de bonne parole comme mon père. Ce type ne mérite pas plus de deux lignes de déscriptions, mais comme je me rends compte qu'on est déja à trois, on va continuer, mais je me limite à cinq. Mon frère n'arrete pas de dire que voler c'est mal, que taper c'est mal, que tuer le chat du voisin c'est mal, que d'écouter de la musique punk et métal, c'est mal.
Mon grand père, Aril Blackard, quatres-vingt-trois ans pour toujours, mineur. Mon grand père était le seul membre de ma famille que j'apréciait. Il était le seul à n'avoir ni sourire béat, ni paroles ennuyeuse, ni manque de personalité. Mon grand père était tout pour moi, c'est lui qui m'a offert petit ours, lui qui m'a dit que c'était pas grave si j'avais tué le chat du voisin, lui encore qui écoutait ce que j'avais à dire. Sa mort ma laisser seul, et je pense à lui sans arret.
Ma grand mère, Julia Blackard, quatres-vingts-huit ans pour l'éternité, femme au foyer. Je ne l'ai pas connue, je peux juste die que la est la source de mes problèmes. C'est elle qui à enseigner a mon père l'art de faire le bien, du coup il s'est trouver une femme bien, et à fait deux enfants. Un bien, et puis moi...
Description Physique : J'ai les yeux verts et les cheveux blanc- pas très commun je sais mais bon -, je ne suis pas très grand il faut bien dire ce qui est, je mesure tout au plus un mètre trente-cinq. J'ai quelques taches de rousseurs, mais elles ne sont que très peu visibles. Habituellement, je m'habille dans un style que je définirais de " Cool et Classique ", comprenez par laque je porte souvent un jean bleu très légèrement délavé, une chemise blanche, un pull ligné brun et gris, et question chaussure, c'est plutôt converse en cuir noir. En fait, ça fait un peu Grunge mais en version plus habillée. J'adopte une démarche décontractée et j'ai la manie de mettre mes mains dans mes poches. Il m'arrive souvent de porter une cravate mal nouée, en guise d'accessoire ( de mode ? ). Je coiffe mes cheveux dans un style coiffé-décoiffé et ça me va plutôt bien il parait.
Caractère : Je dirais que je suis un fonceur, quelqu'un qui sais ce qu'il veux et fait tout pour l'obtenir. Je voulait marquer une différence avec es autres de mon âge en bannissant le langage sms et les mots de deux syllabes de mon vocabulaire.
[ Vous verrez tout de fois apparaître de nombreux mots issus d'un vocabulaire plus enfantin. Je voulais aussi précisez qu'en faisant ce choix il a fait preuve de détermination et de force de caractère en décidant de ne pas faire comme " tout le monde " ]
Je suis conscient de posséder un certain charisme, et je sais en jouer pour arriver a mes fins. Je suis également extrêmement têtu, vous le découvrirez sûrement plus tard, mais je préfère vous dire que lorsque j'ai décidé quelque chose, il est fort difficile de me faire changer d'avis. Un bel exemple est le fait que je remplisse ce formulaire d'inscription à l'école du Flux au nez et à la barbe de ma si gentille petite famille, alors que je peux vous dire qu'ils ont essayer de m'en empêcher, et croient d'ailleurs avoir réussi. J'ai une forte tendance à remettre en cause ce qu'on me dit, et ça ne m'a apporté que du "bien", puisque j'ai choisit de rejoindre le côté du mal plutôt que de prendre pour acquis les paroles de mon père et - à la manière de mon frère - de rester au bien. Je ne sais que vous dire de plus, peut être pourrais-je vous précisez que je suis également un petit blagueur. Je pourrais vous racontez nombres d'anecdotes, par exemple l'épisode du chat qui à tant fait parler de moi dans le quartier. Je vais vous le narrer dans mon histoire si vous me le permettez.
Particularité : Un grain de beauté au dessus du sourcil droit, d'une taille assez importante - quelque chose comme 6 ou 7 millimètres de diamètre - et circulaire. J'ai également une cicatrice sur le ventre.
Histoire : Mon histoire... Tout d'abord, je suis né dans une famille assez aisée, et je ne m'en plains pas. Ce dont je me plaint, mais je pense l'avoir déjà dit plus haut, c'est de la famille en elle même. Tous les enfants sont cruels entre eux, c'est bien connu, mais le problème est que cette méchanceté recule et s'enfuit au plus profond de nous dès l’or que nous grandissons. Et je refuse de laisser cette partie de moi se noyer dans des flots d'amour envers l'autre et tout ces trucs la. Je revendique mon droit à être méchant depuis ce jour ou l'on m'a arraché mon ours des bras. * A l'air pensif, puis se remet à écrire * J'avais cinq ans. Je commençait alors à me plier aux bons sentiments, et abandonnait plus ou moins cette cruauté qui faisait alors partie intégrante de ma vie, de mon caractère, de mes pensées, bref, de moi. De plus en plus, j'avait des paroles gentilles à l'égard de mes camarades de jeux, des adultes m'entourant, etc. Le problème c'est que j’étais très attaché à mon ours brun. C'était mon jouet d'enfance. Celui que j'ai serré contre moi à la mort de mon grand père, celui que j'ai jeté à terre, non content de m'être vu refuser le dernier Action Mec... On m'avait dit que maintenant que j'étais devenu un "grand garçon", je devais abandonner mon ours brun. D'un naturel entêté, je refusais la première fois, et les vingt suivantes. Ma mère me suppliait de laisser partir l'ourson, tandis que je la suppliais de me le laisser. Triste scène, déchirante même. Et bien évidemment, ma mère gagna cette bataille. Elle perdra la guerre qu'elle a déclanchée sans le savoir, mais ça c'est pour plus tard. Vous devez avoir compris que je suis également fort rancunier, et que la vengeance m'anime. C'est exact. Depuis ce jour donc, ou l'on m'a enlever MON jouet, par ce que soit disant " s'attacher à un objet reviens a courir le risque de devenir anti-social "... " ET ALORS ! SI j'ai envie d'être anti-social, c'est mon droit ! ", c'est ce que je lui ai répondu, mais elle a rétorqué "qu'être anti-social, c'est méchant". Méchant, le mot était lâché. Depuis ce jour, donc, je rêve de devenir méchant, d'éradiquer le bien, et je reste convaincu que le mal triomphera, quoi qu'il advienne. Je vais maintenant et comme promis - je sais qu'il n'est pas mal de tenir ses promesses mais dans ce contexte j'espère que vous pardonnerez ma traîtrise - vous expliquer l'histoire du chat. Bien que je suppose que c'est entre autre grâce à cet épisode de ma vie que j'ai été choisit pour entrer à l'école du Flux, voici l'histoire pour ceux qui ne seraient pas encore au courant : J'avais six ans, lorsqu'un pétard s'est malencontreusement égaré dans ... Enfin, dans le vous-savez-bien-quoi du chat de mon voisin. Il ne m'avait rien fait, mais c'était juste pour m'amuser - c'était très dôle, soit dit en passant - et pour faire une "expérience". La première fois, car il y en à eu d'autres, ça l'a bien entamer mais c'était pas suffisant, et surtout ça n'avait touché que la moitié du chat, or il est évident que c'est bien plus drôle s'il explose en entier. Je l'ai donc pourchassé quelques secondes afin de lui en attacher un dans la gueule. La, c'était plus spectaculaire encore. Comment vous décrire ? Bah, tout le monde à essayer le coup du pétard dans la m***e, non ? Ben ça fait plus ou moins ça...
Voici pour ce qui est de la première partie de mon enfance, je passe donc à la seconde partie :
Après cette période ou je ne savais quel camp choisir, vient celle ou je me suis décidé, puis pris en main. Au début, après l' "incident" - c'est le terme employé par ma chère famille pour désigner ce qui c'est passé avec le chat -, j'ai eu droit au cortège de psychologues qui ont faits rapports sur rapports. Le défilé s'est interrompu un an après l’incident, ils estimaient que le suivi psychologique avait été concluent puisqu’ aucun chat n'était plus mort depuis. Ce fut leur plus grande erreur. S'en suivit une période ou je fus, il faut bien le reconnaître, assez calme. Puis elle est arrivée. C'était il y à deux jours, trois tout au plus. Je me suis levé vers dix heures, comme à mon habitude, et après avoir bu mon chocolat chaud, j'ai entendu le facteur déposer le courrier. Je suis aller voir ce qu'il y avait sans grande conviction et je fus très surpris de constater une lettre qui m'était adressée. Elle provenait d'un lieu qui m'était inconnu jusqu'alors et qui s'appelle le Val des ombres. Le contenu me décrivait une école, ou je pourrais enfin apprendre à devenir ce que j'ai toujours souhaité être. Elle m'informait de l'existence de l’école du Flux. Cet établissement au nom étrange forme des gens comme moi, qui ont une prédestination au mal, à devenir ce pour quoi ils sont nés. La lettre était signée d'un nom qui tout de suite me mit en confiance, je ne sais pourquoi. Caliban Leviaz, directeur de l'école du Flux, située au coeur du Val des ombres, m'invitait à le rejoindre... Que me faudrait il donc de plus ? L'accord de mes parents. Croyez moi, la discussion fut brève, je vous la retranscris ici :
-Heu... maman ? -Laisse ta mère tranquille Araménis ! -Papa je... -Qu'est ce que je viens de te dire nom d'un chien ! -Laisse le s'exprimer Joründ, cet enfant n'a rien fait de mal depuis l'incident, et je ne suis qu'enrhumée, ne dramatise donc pas. -Maman, papa, je dois vous dire quelque chose. -JE TE PREVIENS QUE S'IL EST ARRIVER QUOI QUE CE SOIT A UN CHAT, OU QUELQU'ANIMAL QUE CE SOIT, TU... -Papa, s'il te plait, calme toi, il n'est rien arrivé, ni à un chat, ni à un chien, ni même à une tortue si tu veux tout savoir ! -Ne soit pas insolent Araménis, tu va énerver père et mère. -Ne soit pas ceci Araménis, ne soit pas cela, ne fait pas ceci et patati et patata, J'EN AI MARRE ! -Et bien tu devras t'y faire au moins jusqu'à tes dix-huit ans mon petit gars ! -Sauf si je m'en vais... -Et ou irais tu donc mon fils ? -A l'école du Flux. -Vraiment ? Et tu crois que nous allons te laisser aller à l'école du truc comme ça ? Sans rien savoir sur l'établissement ? -A combien s'élèvent les coûts d'inscription ? -Je n'en sais rien. -Hé bien voila ! Regarde donc ton fils Helen, il veut aller à l'école machin chose et il ne prend même pas de renseignements ! Hé bien tu peux toujours courir, mon garçon.
Et voila. Après cette vive discussion je suis monté dans ma chambre, ai réfléchit, et j'ai prit ma décision. Dans quelques jours je l'espère, je serais parmi vous.
Pouvoir : Electrostatique
Péché souhaité : Plusieurs me conviendraient. La colère puisqu'animé par une envie de vengance et une colère omniprésente. Mais aussi la luxure car il aime jouer de son phisyque pour s'attiré nombres d'avantages ou encore l'orgueil, puisque justement, il se trouve beau et presque parfait.
Année d’étude : 1ere Année.
Dernière édition par Aramenis Blackard le Ven 26 Déc - 1:46, édité 5 fois | |
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